Serge Maccaferri et Louis Chacallis se sont connus en 1968 à l’Ecole des Arts décoratifs de Nice. Autour d’une ambition commune, ils adhèrent brièvement au Groupe 70 qui réunissait alors plusieurs artistes s’interrogeant sur la « tradition de la peinture ».
Au fil des années leurs travaux et recherches personnelles respectives ont évolué.
Serge Maccaferri au moyen de l’abstraction et Louis Chacallis au moyen de la figuration, proposent, chacun à leur manière, d’explorer le processus pictural ainsi que de définir de nouveaux enjeux au-delà du châssis et de la peinture traditionnelle.
Les « grilles » laissant déborder une masse onctueuse de couleurs de Serge Maccaferri ; et les séries plus figuratives de Louis Chacallis, ses « armures », ses « crucifix », ses « masques » en carton ou en grillage ou encore ses « anamorphoses », se conjuguent en face à face et se rejoignent dans un rapport subtil au seul avantage de la peinture.
« Le support devient actif, tandis que dans la peinture traditionnelle, le peintre le fait disparaître. Là, le mécanisme de l’acte de peindre prend un sens. Il n’est plus enfui, secret, occulté ». Serge Maccaferri
« Le travail du tableau acquiert une dimension particulière, celle de la profondeur. la peinture devient objet, mais reste de la peinture, car nous ne sommes ni des concepteurs, ni des sculpteurs mais bien des peintres ». Louis Chacallis
Cette exposition – semi-rétrospective – présente les œuvres de ces deux plasticiens, l’un installé à Nice et l’autre à Menton, qui occupent encore aujourd’hui une place importante au sein de la création artistique contemporaine.
Au fil des années leurs travaux et recherches personnelles respectives ont évolué.
Serge Maccaferri au moyen de l’abstraction et Louis Chacallis au moyen de la figuration, proposent, chacun à leur manière, d’explorer le processus pictural ainsi que de définir de nouveaux enjeux au-delà du châssis et de la peinture traditionnelle.
Les « grilles » laissant déborder une masse onctueuse de couleurs de Serge Maccaferri ; et les séries plus figuratives de Louis Chacallis, ses « armures », ses « crucifix », ses « masques » en carton ou en grillage ou encore ses « anamorphoses », se conjuguent en face à face et se rejoignent dans un rapport subtil au seul avantage de la peinture.
« Le support devient actif, tandis que dans la peinture traditionnelle, le peintre le fait disparaître. Là, le mécanisme de l’acte de peindre prend un sens. Il n’est plus enfui, secret, occulté ». Serge Maccaferri
« Le travail du tableau acquiert une dimension particulière, celle de la profondeur. la peinture devient objet, mais reste de la peinture, car nous ne sommes ni des concepteurs, ni des sculpteurs mais bien des peintres ». Louis Chacallis
Cette exposition – semi-rétrospective – présente les œuvres de ces deux plasticiens, l’un installé à Nice et l’autre à Menton, qui occupent encore aujourd’hui une place importante au sein de la création artistique contemporaine.
Informations pratiques
Musée des Beaux-Arts - Palais Carnolès
3, avenue de la Madone
06500 Menton
Renseignements : 04 93 35 49 71
Horaires d’ouverture : Tous les jours de 10h à 12h et de 14h à 18h. Fermé le mardi et les jours fériés.
Entrée libre
Visites guidées, individuelles et de groupes : contacter le Service du Patrimoine au 04 92 10 33 66
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3, avenue de la Madone
06500 Menton
Renseignements : 04 93 35 49 71
Horaires d’ouverture : Tous les jours de 10h à 12h et de 14h à 18h. Fermé le mardi et les jours fériés.
Entrée libre
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