Alas a pour particularité d’être une chorégraphie dans laquelle Nacho Duato apparaît sur scène, mais c’est aussi un spectacle qui porte la signature du metteur en scène slovène Tomaz Pandur. Deux artistes de prestige international unis dans une expérience de création rare avec un objectif commun : la recherche d'un nouveau vocabulaire à travers une véritable fusion de disciplines, au-delà de la simple combinaison de langages scéniques. Le résultat de cette rencontre est Alas, un ballet qui est l’aboutissement, selon ses créateurs, « d'un processus de travail différent qui offre de nouvelles voies d'exploration pour la danse et le théâtre ».
Alas s’inspire principalement du film Les Ailes du désir de Wim Wenders (1987), dans lequel un ange décide de renoncer à son immortalité pour vivre parmi les hommes. La chorégraphie n’offre cependant pas de parallélisme explicite avec l’histoire du film, bien qu’elle comprenne de brefs fragments du scénario de Peter Handke et que le sujet central demeure : le désir d'immortalité de l'homme, exprimé à travers l'éternelle lutte entre le ciel et la terre. « En réalité, cette œuvre parle de solitude, précise Tomaz Pandur. L'homme se trouve seul face à la grande question du temps et de l’infini. C’est une des raisons pour lesquelles j'ai voulu faire ce travail avec Nacho Duato, que je considère comme un sculpteur de temps ». L’intensité dramatique est renforcée par l’interprétation des danseurs et par Nacho Duato lui-même, qui danse et interprète plusieurs monologues. Pedro Alcalde et Sergio Caballero, compositeurs habituels des dernières chorégraphies de Duato, ont écrit une musique originale qu’accompagnent des extraits d’œuvres d’autres compositeurs.
jeudi 25 et vendredi 26 mars à 20h30
dans la grande salle
tarif A+ durée 1h10
Alas s’inspire principalement du film Les Ailes du désir de Wim Wenders (1987), dans lequel un ange décide de renoncer à son immortalité pour vivre parmi les hommes. La chorégraphie n’offre cependant pas de parallélisme explicite avec l’histoire du film, bien qu’elle comprenne de brefs fragments du scénario de Peter Handke et que le sujet central demeure : le désir d'immortalité de l'homme, exprimé à travers l'éternelle lutte entre le ciel et la terre. « En réalité, cette œuvre parle de solitude, précise Tomaz Pandur. L'homme se trouve seul face à la grande question du temps et de l’infini. C’est une des raisons pour lesquelles j'ai voulu faire ce travail avec Nacho Duato, que je considère comme un sculpteur de temps ». L’intensité dramatique est renforcée par l’interprétation des danseurs et par Nacho Duato lui-même, qui danse et interprète plusieurs monologues. Pedro Alcalde et Sergio Caballero, compositeurs habituels des dernières chorégraphies de Duato, ont écrit une musique originale qu’accompagnent des extraits d’œuvres d’autres compositeurs.
jeudi 25 et vendredi 26 mars à 20h30
dans la grande salle
tarif A+ durée 1h10