femmes volcans forêts torrents rassemble le travail de neuf femmes actuellement établies au Québec, dont les œuvres sont perméables aux territoires qu’elles investiguent. À l’écoute des éléments naturels sur lesquels elles posent leur regard et des communautés de vivants avec lesquelles elles entrent en relation, ces artistes enracinent leurs réflexions dans des écosystèmes diversifiés, depuis les eaux du fleuve Saint-Laurent jusqu’aux sols de la toundra.
Sabrina Ratté, Floralia, 2021. 4 vidéogrammes couleur haute définition, projection en boucle, son et papier peint, 1/3 Collection du Musée d’art contemporain de Montréal © Sabrina Ratté
femmes volcans forêts torrents rassemble le travail de neuf femmes actuellement établies au Québec, dont les œuvres sont perméables aux territoires qu’elles investiguent. À l’écoute des éléments naturels sur lesquels elles posent leur regard et des communautés de vivants avec lesquelles elles entrent en relation, ces artistes enracinent leurs réflexions dans des écosystèmes diversifiés, depuis les eaux du fleuve Saint-Laurent jusqu’aux sols de la toundra.
Elles nous sensibilisent à la fragilité de l’eau; nous font entendre les battements du cœur de la Terre et le pouls des volcans; nous rappellent que les arbres communiquent entre eux dans les forêts; que les oiseaux migrateurs sont chargés d’histoires de diasporas; que chaque plante porte le bagage des déplacements de son espèce; que chaque humain loge en lui un torrent.
À une époque où la lente disparition des glaciers s’accentue, où le nombre de vivants non humains diminue, nous devons exposer les traces amplifiées de leurs bruits et de leur fragile présence en tant que forme d’alerte perceptible. Bien que l’art ne puisse pas résoudre les problématiques écologiques actuelles, ces œuvres nous offrent des occasions de remédier à notre inattention et notre manque de sensibilité à l’égard des mondes diversifiés du vivant.
🇨🇦 Commissarié par : Marie-Eve Beaupré, commissaire invitée
MAC
Place Ville Marie – niveau Galerie
Montréal (Québec), H3B 3Y1
11 avril 2024 - 18 août 2024
Elles nous sensibilisent à la fragilité de l’eau; nous font entendre les battements du cœur de la Terre et le pouls des volcans; nous rappellent que les arbres communiquent entre eux dans les forêts; que les oiseaux migrateurs sont chargés d’histoires de diasporas; que chaque plante porte le bagage des déplacements de son espèce; que chaque humain loge en lui un torrent.
À une époque où la lente disparition des glaciers s’accentue, où le nombre de vivants non humains diminue, nous devons exposer les traces amplifiées de leurs bruits et de leur fragile présence en tant que forme d’alerte perceptible. Bien que l’art ne puisse pas résoudre les problématiques écologiques actuelles, ces œuvres nous offrent des occasions de remédier à notre inattention et notre manque de sensibilité à l’égard des mondes diversifiés du vivant.
🇨🇦 Commissarié par : Marie-Eve Beaupré, commissaire invitée
MAC
Place Ville Marie – niveau Galerie
Montréal (Québec), H3B 3Y1
11 avril 2024 - 18 août 2024
Déroulement de la soirée inaugurale
Le mercredi 10 avril de 17 h 30 à 20 h à Place Ville Marie
17 h 30 – Ouverture de la salle
18 h – Prise de parole par John Zeppetelli, directeur général et conservateur en chef, Audrey Genois, directrice de la conservation et de la programmation artistique, et Marie-Eve Beaupré, commissaire invitée
20 h – Fin de l’activité
17 h 30 – Ouverture de la salle
18 h – Prise de parole par John Zeppetelli, directeur général et conservateur en chef, Audrey Genois, directrice de la conservation et de la programmation artistique, et Marie-Eve Beaupré, commissaire invitée
20 h – Fin de l’activité