Depuis plusieurs mois, les équipes de la Cité du design et de l’École supérieure d’art et design de Saint-Étienne (Esadse) préparent la prochaine Biennale Internationale Design Saint-Étienne. Conçue pour tous les publics, cette édition 2025 aura pour pays invité l’Arménie. Elle mettra au premier plan la figure du designer, invitant à découvrir des objets et projets inédits, venus du monde entier.
La jeune création et les étudiants de l’Esadse seront à l’honneur, ainsi que l’industrie. La Biennale 2025 s’organisera autour de deux sites : la Cité du design et les Halles Barrouin. Chacun accueillera une des deux expositions principales de cette édition. Elles seront complétées par quatre autres expositions et un rendez-vous culturel par semaine. Un programme événementiel se déploiera par ailleurs sur le territoire métropolitain pour faire aussi de ce rendez-vous une grande fête du design.
Commissariat général : Éric Jourdan, designer, directeur général de l’EPCC Cité du design-Esadse
Direction scientifique : Laurence Salmon, directrice du développement culturel et artistique, EPCC Cité du design-Esadse
La jeune création et les étudiants de l’Esadse seront à l’honneur, ainsi que l’industrie. La Biennale 2025 s’organisera autour de deux sites : la Cité du design et les Halles Barrouin. Chacun accueillera une des deux expositions principales de cette édition. Elles seront complétées par quatre autres expositions et un rendez-vous culturel par semaine. Un programme événementiel se déploiera par ailleurs sur le territoire métropolitain pour faire aussi de ce rendez-vous une grande fête du design.
Commissariat général : Éric Jourdan, designer, directeur général de l’EPCC Cité du design-Esadse
Direction scientifique : Laurence Salmon, directrice du développement culturel et artistique, EPCC Cité du design-Esadse
Esquisse de scénographie - Biennale Internationale Design SaintÉtienne 2025 - Halles Barrouin © Joachim Jirou-Najou
Une thématique au cœur des enjeux contemporains
« Ressource(s), présager demain » : la thématique de cette Biennale a émergé comme une évidence au contact des designers. Plongé dans une époque devenue fluctuante, marquée par l’épuisement annoncé de certaines ressources, la réalité palpable du changement climatique, la mise en doute de certaines certitudes modernes, le designer se sent « intranquille », ce qui l’amène à questionner sa pratique. Avec quelles ressources travaillera-t-il demain ? Il ne s’agit pas ici de parler uniquement de ressources naturelles, mais bien d’interroger toute la richesse polysémique du mot « ressources », en relation avec le designer et sa pratique du projet.
Deux expositions principales
Ressource(s), présager demain
L’exposition phare de la Biennale 2025 se déploira sur 2 000 m2 au cœur des immenses Halles Barrouin, situées à cinq minutes à pied de la Cité du design et emblématiques de l’héritage industriel stéphanois. Elle déclinera la thématique « Ressource(s), présager demain » à travers neuf sections : Terres Promises, Le devenir industriel, Le monde selon l’IA, Minimum/Maximum, Déjà-là… Le commissariat est assuré par Laurence Salmon et neuf designers-commissaires invités, chargés chacun d’une section. L’exposition éclairera ainsi collectivement cette question délicate des ressources, c’est-à-dire des moyens avec lesquels le designer travaille pour inscrire et affirmer sa pratique en participant à la construction de mondes et d’imaginaires nouveaux. De la start-up à la grande industrie, les entreprises seront largement représentées, en tant qu’acteurs majeurs du changement économique et environnemental.
Le Droit de rêver, workshops internationaux Esadse
Par le biais de workshops à l’Esadse avec des designers locaux, nationaux et internationaux, la Biennale réactive sa dimension exploratoire menée par les étudiants eux-mêmes. La restitution des ateliers menés au cours de l’année 2024-2025 sera dévoilée à la Cité du design, au sein du bâtiment La Platine, à travers une exposition-événement de 1 000 m2. Il s’agit de démontrer que le designer a de la ressource : c’est un créateur dans le champ de la production artisanale et/ou industrielle, qui se définit par une approche sensible et ouverte au monde. Porteur d’idées et de projets, il s’appuie sur sa créativité, sa méthodologie du projet et sa gestion des contraintes pour proposer une démarche responsable, à l’heure de l’Anthropocène.
L’Esadse, à l’origine de la création de la Biennale stéphanoise en 1998, sera ainsi sur le devant de la scène lors de cette 13e édition, pour laquelle elle est également en charge de la création de l’identité visuelle.
L’exposition phare de la Biennale 2025 se déploira sur 2 000 m2 au cœur des immenses Halles Barrouin, situées à cinq minutes à pied de la Cité du design et emblématiques de l’héritage industriel stéphanois. Elle déclinera la thématique « Ressource(s), présager demain » à travers neuf sections : Terres Promises, Le devenir industriel, Le monde selon l’IA, Minimum/Maximum, Déjà-là… Le commissariat est assuré par Laurence Salmon et neuf designers-commissaires invités, chargés chacun d’une section. L’exposition éclairera ainsi collectivement cette question délicate des ressources, c’est-à-dire des moyens avec lesquels le designer travaille pour inscrire et affirmer sa pratique en participant à la construction de mondes et d’imaginaires nouveaux. De la start-up à la grande industrie, les entreprises seront largement représentées, en tant qu’acteurs majeurs du changement économique et environnemental.
Le Droit de rêver, workshops internationaux Esadse
Par le biais de workshops à l’Esadse avec des designers locaux, nationaux et internationaux, la Biennale réactive sa dimension exploratoire menée par les étudiants eux-mêmes. La restitution des ateliers menés au cours de l’année 2024-2025 sera dévoilée à la Cité du design, au sein du bâtiment La Platine, à travers une exposition-événement de 1 000 m2. Il s’agit de démontrer que le designer a de la ressource : c’est un créateur dans le champ de la production artisanale et/ou industrielle, qui se définit par une approche sensible et ouverte au monde. Porteur d’idées et de projets, il s’appuie sur sa créativité, sa méthodologie du projet et sa gestion des contraintes pour proposer une démarche responsable, à l’heure de l’Anthropocène.
L’Esadse, à l’origine de la création de la Biennale stéphanoise en 1998, sera ainsi sur le devant de la scène lors de cette 13e édition, pour laquelle elle est également en charge de la création de l’identité visuelle.