Yoko Ono. Three Mounds, 1999/2008. Installation view © Philipp Ottendorfer. Courtesy of Kunsthalle Bielefeld
Yoko Ono : Under the same Sky présente un ensemble de 44 œuvres de 1962 à 2015, toutes interprétées en 2021 : 8 installations, 2 performances, 2 vidéos, 22 instructions, des affiches for photographs exposées dans la ville, des Wish Trees, des Words Pieces également visibles dans les rues et sur des vitrines : Dream, Open Window, Piece is Power, Imagine Peace...
L’exposition se concentre sur 5 thèmes séminaux de l’œuvre de Yoko Ono : Sky, World, Wish, share, Touch...
...Toucher le ciel, partager le monde !...
Vernissage, performances : vendredi 17 septembre
L’exposition se concentre sur 5 thèmes séminaux de l’œuvre de Yoko Ono : Sky, World, Wish, share, Touch...
...Toucher le ciel, partager le monde !...
Vernissage, performances : vendredi 17 septembre
Yoko Ono
Née en 1933 à Tokyo, Yoko Ono est une des artistes des plus influentes de notre temps. Proche de Fluxus et activiste, elle s’engage pour la paix dès 1969.
Depuis les années 60, l’artiste multiplie les actions et performances qui mêlent poésie, musique et arts visuels. De nombreuses expositions personnelles ont présenté son travail à travers le monde : à Londres, Sydney, Pékin, Tokyo, Oslo, New-York, Porto, Rome. La première rétrospective française de son oeuvre a été organisée en 2016 par le Musée d’art contemporain de Lyon.
Musicienne, plasticienne, performeuse et poète, Yoko Ono en un peu moins de sept ans entre New-York et Tokyo,va donner aux arts plastiques une amplitude insoupçonnée. Cela se passe entre 1957 et 1962 mais commence bien avant. Enfant à Tokyo, elle est à l’école Jiyu-Gakuen (jardin d’apprentissage de la liberté) où elle apprend à transcrire en notes les sons de l’environnement.
Elle prend alors conscience que traduire en un système de notation un chant d’oiseau, c’est lui enlever l’essentiel de sa beauté spontanée. De cette expérience, elle tirera plus tard sa volonté d’abolir les limites de la pensée.
Son oeuvre commence véritablement lorsqu’elle transforme un de ses textes de 1957 en performance dont les acteurs, au Village Gate de New-York en 1961, sont les musiciens Toshi Ichiyanagi, Toshihiro Mayuzumi, John Cage, David Tudor, La Monte Young… L’action se poursuit sept mois plus tard au Carnegie Recital Hall où elle implique directement le public plongé dans le noir. Ni peinture, ni sculpture, ni action, ni théâtre, ni musique mais tout à la fois : c’est l’extrême singularité de l’oeuvre poétique de Yoko Ono.
Le 18 décembre 1960 à New-York, Yoko ouvre son loft de Chambers street aux musiciens, danseurs, sculpteurs et poètes. C’est là qu’elle présente ses premières Peintures Instructions conçues à partir de partitions écrites ou orales.
Depuis les années 60, l’artiste multiplie les actions et performances qui mêlent poésie, musique et arts visuels. De nombreuses expositions personnelles ont présenté son travail à travers le monde : à Londres, Sydney, Pékin, Tokyo, Oslo, New-York, Porto, Rome. La première rétrospective française de son oeuvre a été organisée en 2016 par le Musée d’art contemporain de Lyon.
Musicienne, plasticienne, performeuse et poète, Yoko Ono en un peu moins de sept ans entre New-York et Tokyo,va donner aux arts plastiques une amplitude insoupçonnée. Cela se passe entre 1957 et 1962 mais commence bien avant. Enfant à Tokyo, elle est à l’école Jiyu-Gakuen (jardin d’apprentissage de la liberté) où elle apprend à transcrire en notes les sons de l’environnement.
Elle prend alors conscience que traduire en un système de notation un chant d’oiseau, c’est lui enlever l’essentiel de sa beauté spontanée. De cette expérience, elle tirera plus tard sa volonté d’abolir les limites de la pensée.
Son oeuvre commence véritablement lorsqu’elle transforme un de ses textes de 1957 en performance dont les acteurs, au Village Gate de New-York en 1961, sont les musiciens Toshi Ichiyanagi, Toshihiro Mayuzumi, John Cage, David Tudor, La Monte Young… L’action se poursuit sept mois plus tard au Carnegie Recital Hall où elle implique directement le public plongé dans le noir. Ni peinture, ni sculpture, ni action, ni théâtre, ni musique mais tout à la fois : c’est l’extrême singularité de l’oeuvre poétique de Yoko Ono.
Le 18 décembre 1960 à New-York, Yoko ouvre son loft de Chambers street aux musiciens, danseurs, sculpteurs et poètes. C’est là qu’elle présente ses premières Peintures Instructions conçues à partir de partitions écrites ou orales.
Info+
L'Aire
25 rue Porte de Laure, Arles
Situé à deux pas des arènes, l'endroit est condensé, précis et essentiel puisque l'art est sa raison d'être. Un (petit) centre d'art pour accueillir les plus grands.
Fondateur : Jonathan Pierredon
Directeur artistique : Cyrille Putman
Commissaire de Yoko Ono : Under the same Sky : Thierry Raspail
25 rue Porte de Laure, Arles
Situé à deux pas des arènes, l'endroit est condensé, précis et essentiel puisque l'art est sa raison d'être. Un (petit) centre d'art pour accueillir les plus grands.
Fondateur : Jonathan Pierredon
Directeur artistique : Cyrille Putman
Commissaire de Yoko Ono : Under the same Sky : Thierry Raspail