Ann Veronica Janssens, 1998, Le bain de lumière.Collection Cera, musée M, Louvain © Andy Stagg
Le festival du Jeu de Paume propose au public de découvrir les multiples dimensions de l’image dans la diversité de ses formes. Mêlant exposition, projections, performances et concerts, présentant un nombre important de nouvelles productions, ce rendez-vous entend donner une pleine visibilité à des artistes rarement montrés en France.
L'exposition
« Fata Morgana » déploie une réflexion critique et poétique sur les modalités concrètes d’apparition du visible, souvent plus instable et ambiguë qu’il n’y paraît. L’exposition pluridisciplinaire rassemble, aux côtés de photographies, films et installations vidéo, des sculptures, performances et pièces sonores. C’est une certaine qualité d’attention au monde sensible – plutôt qu’un thème, un mouvement ou une génération – qui est proposée. Le titre fait référence moins à l’effet de trompe-l’œil qu’à l’apprentissage du regard, entre émerveillement et décryptage.
La première édition du festival du Jeu de Paume
Cette première, qui occupe l’ensemble du bâtiment, est confiée à Béatrice Gross, commissaire indépendante, avec le conseil artistique de Katinka Bock. Le titre retenu pour cette édition, « Fata Morgana », renvoie au phénomène exceptionnel causé par la combinaison de mirages à la surface de la mer, dont les réfractions font apparaitre des images en suspension d’objets situés en deçà de l’horizon : ce sont donc les réalités sensibles singulières véhiculées par l’image contemporaine que les commissaires ont choisi d’explorer.
Le podcast
D’ici l’ouverture du festival, ce podcast en 6 épisodes vous propose de suivre une partie des artistes qui en font partie. Comment elles ou ils travaillent, se projettent, se racontent. Un podcast de Clara Schulmann.
Les 4 premiers épisodes sont disponibles. Bonne écoute !
L'exposition
« Fata Morgana » déploie une réflexion critique et poétique sur les modalités concrètes d’apparition du visible, souvent plus instable et ambiguë qu’il n’y paraît. L’exposition pluridisciplinaire rassemble, aux côtés de photographies, films et installations vidéo, des sculptures, performances et pièces sonores. C’est une certaine qualité d’attention au monde sensible – plutôt qu’un thème, un mouvement ou une génération – qui est proposée. Le titre fait référence moins à l’effet de trompe-l’œil qu’à l’apprentissage du regard, entre émerveillement et décryptage.
La première édition du festival du Jeu de Paume
Cette première, qui occupe l’ensemble du bâtiment, est confiée à Béatrice Gross, commissaire indépendante, avec le conseil artistique de Katinka Bock. Le titre retenu pour cette édition, « Fata Morgana », renvoie au phénomène exceptionnel causé par la combinaison de mirages à la surface de la mer, dont les réfractions font apparaitre des images en suspension d’objets situés en deçà de l’horizon : ce sont donc les réalités sensibles singulières véhiculées par l’image contemporaine que les commissaires ont choisi d’explorer.
Le podcast
D’ici l’ouverture du festival, ce podcast en 6 épisodes vous propose de suivre une partie des artistes qui en font partie. Comment elles ou ils travaillent, se projettent, se racontent. Un podcast de Clara Schulmann.
Les 4 premiers épisodes sont disponibles. Bonne écoute !