Exposition « Steve McCurry & Musée Barbier-Mueller, wabi-sabi : la beauté dans l’imperfection »
À travers trente de ses photographies associées à des œuvres du musée Barbier-Mueller, Steve McCurry explore la philosophie du wabi-sabi que l’on peut désigner comme la beauté des choses imparfaites, impermanentes et incomplètes.
Les scènes, les objets et les lieux saisis par le photographe convient à la découverte d’une humanité qui, bien que patinée par l’âge, abîmée par la guerre ou usée par les intempéries, demeure intensément vivante et colorée.
Les similitudes de formes, de lignes et de couleurs qui se dessinent entre les œuvres du musée et les photographies de Steve McCurry invitent à une promenade esthétique parcourant entre autres l’Inde, le Myanmar ou l’Éthiopie. Une évasion visuelle fort à propos !
Les scènes, les objets et les lieux saisis par le photographe convient à la découverte d’une humanité qui, bien que patinée par l’âge, abîmée par la guerre ou usée par les intempéries, demeure intensément vivante et colorée.
Les similitudes de formes, de lignes et de couleurs qui se dessinent entre les œuvres du musée et les photographies de Steve McCurry invitent à une promenade esthétique parcourant entre autres l’Inde, le Myanmar ou l’Éthiopie. Une évasion visuelle fort à propos !
Photographie de Steve McCurry montrant un homme lisant le journal dans une maison pour personnes âgées à Mingun, au Myannmar, 2017, associée à une statuette moai miro de l’île de Pâques conservée au musée Barbier-Mueller. Photo Luis Lourenço.
À la rencontre des Indiens Kayapo d’Amazonie
Un éclairage sur les Indiens Kayapo du Brésil central et sur leur culture est proposé au sous-sol du musée, à l’occasion de la parution du livre Les Kararaô du Brésil central du Dr Gustaaf Verswijver, publié par la Fondation culturelle Musée Barbier-Mueller.
Deux grandes coiffes de plumes multicolores, un ornement de dos en plumes de queue d’ara rouge et un collier en coquilles de moule sont ainsi dévoilés. Ces parures fascinent en raison de leur exceptionnelle beauté, de leur taille spectaculaire et de leur fonction centrale dans les rituels kayapo.
D’autre part, sont présentés non seulement des portraits d’indigènes kayapo peints et parés, dessinés par Martine de Roeck, épouse du Dr Verswijver, qui l’a accompagné de nombreuses fois sur le terrain, mais aussi des panneaux didactiques décrivant leurs arts et leur culture.
En outre, Raoni, l’emblématique chef kayapo, s’adresse aux visiteurs en racontant son histoire familiale liée à celle des Kararaô, un sous-groupe kayapo.
Deux grandes coiffes de plumes multicolores, un ornement de dos en plumes de queue d’ara rouge et un collier en coquilles de moule sont ainsi dévoilés. Ces parures fascinent en raison de leur exceptionnelle beauté, de leur taille spectaculaire et de leur fonction centrale dans les rituels kayapo.
D’autre part, sont présentés non seulement des portraits d’indigènes kayapo peints et parés, dessinés par Martine de Roeck, épouse du Dr Verswijver, qui l’a accompagné de nombreuses fois sur le terrain, mais aussi des panneaux didactiques décrivant leurs arts et leur culture.
En outre, Raoni, l’emblématique chef kayapo, s’adresse aux visiteurs en racontant son histoire familiale liée à celle des Kararaô, un sous-groupe kayapo.
Salle consacrée aux Indiens Kayapo du Brésil central. Photo Luis Lourenço.
À voir également au sous-sol
Outre cette salle dédiée aux Indiens Kayapo d'Amazonie, des masques d’Afrique et d’Océanie affublés d’une barbe, réelle ou supposée, habitent les salles restantes du sous-sol.
Salle Océanie. Photo Luis Lourenço.
Info+
Musée Barbier-Mueller
Rue Jean-Calvin 10
Genève 1204
Switzerland
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