Lisbonne. Galerie Analora, « Caracola. Exposition 8 Marvila ». 31 août ‒ 6 octobre 2024
Jules Milhau est invité par la galerie Analora pour une exposition hors les murs au cœur du nouveau quartier artistique de Lisbonne, Marvila, le « meatpacking » portugais.
Jules Milhau. Las Meninas Acrylic and oil on canvas, 2024 Triptych, H 132 x L 300
A 24 ans, ce sera sa neuvième exposition, 1000m2 dans un ancien chai mythique pour y exprimer sa poésie, son rythme. Le mouvement qui lʼanime depuis quʼil est en âge de tenir un pinceau est un souffle, une musique qui traverse toutes ses œuvres.
Ici, il sʼimprègne de ses déambulations lisboètes le long du Tage, dans les pas des marins et de leur langue vernaculaire, trésor national, le Fado.
Caracola, la conque marine qui garde la mémoire des vagues, est le fil conducteur de son exposition au 8 Marvila.
Dans lʼimposante ancienne salle des cuves, Jules Milhau a imaginé une danse de paravents, une série de toiles grand format, et un parterre dʼazulejos né de sa collaboration avec la célèbre manufacture Viúva Lamego.
Ici, il sʼimprègne de ses déambulations lisboètes le long du Tage, dans les pas des marins et de leur langue vernaculaire, trésor national, le Fado.
Caracola, la conque marine qui garde la mémoire des vagues, est le fil conducteur de son exposition au 8 Marvila.
Dans lʼimposante ancienne salle des cuves, Jules Milhau a imaginé une danse de paravents, une série de toiles grand format, et un parterre dʼazulejos né de sa collaboration avec la célèbre manufacture Viúva Lamego.
Bio Jules Milhau
2022 - Exposition Tempo, 4/30 avril - Palais de lʼArchevêché, invité par la ville d'Arles Jules expose ses nouvelles œuvres, ses Arlésiennes, et la suite de ses «séries» : Ménines revisitées, processions, poulpes, toreros...
« LʼArlésienne a toujours fait partie de mon paysage familier. Que ce soit pendant les ferias ou les fêtes de village. Cette femme qui semble venir tout droit dʼun autre temps est pourtant viscéralement présente dans notre patrimoine culturel camarguais. Un peu plus tard jʼai découvert que lʼArlésienne fut la muse de grands artistes que ce soit en musique avec George Bizet ou en peinture avec Picasso, Van Gogh, Gauguin. Cette tension entre lʼancienneté du modèle et la modernité de certaines interprétations artistiques mʼa toujours fasciné. Cette icône de chez nous est en quelque sorte la liaison entre hier et aujourdʼhui, la tradition et la transmission.
Lʼenvie de la peindre était pour moi irrésistible. »
2023 ‒ Exposition Camino, 19/10 au 05/11 - Galerie Patrick J. Domken, Cadaqués
« Camino, cʼest le chemin que jʼai choisi, celui de la peinture ; dès la première fois, les mains pleines de couleur je les ai posées sur le mur blanc de ma maison. Caminar, cʼest accepter très souvent la page blanche, les points dʼinterrogation et le doute.
Cʼest me lever la nuit pour peindre. Cʼest penser que la toile est un espace infini et que oui jʼai toujours quelque chose à dire. Cʼest voir en lʼabsence et la solitude une source vive. Prendre la vie avec les deux mains et toujours regarder le long du chemin. Cʼest dire que mon âme a un tempo et que parfois entre mon pinceau et moi il y a du taconeo.»
« LʼArlésienne a toujours fait partie de mon paysage familier. Que ce soit pendant les ferias ou les fêtes de village. Cette femme qui semble venir tout droit dʼun autre temps est pourtant viscéralement présente dans notre patrimoine culturel camarguais. Un peu plus tard jʼai découvert que lʼArlésienne fut la muse de grands artistes que ce soit en musique avec George Bizet ou en peinture avec Picasso, Van Gogh, Gauguin. Cette tension entre lʼancienneté du modèle et la modernité de certaines interprétations artistiques mʼa toujours fasciné. Cette icône de chez nous est en quelque sorte la liaison entre hier et aujourdʼhui, la tradition et la transmission.
Lʼenvie de la peindre était pour moi irrésistible. »
2023 ‒ Exposition Camino, 19/10 au 05/11 - Galerie Patrick J. Domken, Cadaqués
« Camino, cʼest le chemin que jʼai choisi, celui de la peinture ; dès la première fois, les mains pleines de couleur je les ai posées sur le mur blanc de ma maison. Caminar, cʼest accepter très souvent la page blanche, les points dʼinterrogation et le doute.
Cʼest me lever la nuit pour peindre. Cʼest penser que la toile est un espace infini et que oui jʼai toujours quelque chose à dire. Cʼest voir en lʼabsence et la solitude une source vive. Prendre la vie avec les deux mains et toujours regarder le long du chemin. Cʼest dire que mon âme a un tempo et que parfois entre mon pinceau et moi il y a du taconeo.»
Info+
Galerie Analora
R. de São Bento 388
1200-801 Lisboa
Portugal
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1200-801 Lisboa
Portugal
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