Aurélie Auffray, gendarme mobile de carrière, est une amoureuse de l'Inde ce qui l’a poussé en 2016 à créer l'association Mon coeur pour l’Humanité, afin de valoriser la culture indienne en France et inversement. Elle s’adresse alors à Aakash Verma, graphiste récemment installé à Porquerolles, pour réaliser le logo de l’association. De cet échange professionnel nait une amitié artistique. En 2018, après le décès d’Arnaud Beltrame, qui les a profondément touché tous les deux, ils décident de raconter qui sont les gendarmes à travers leurs regards croisés.
Le projet est décidé et ce sont 16 portraits qui vont être réalisés en une année, 13 en région, 2 en outre-mer et celui du général Richard Lizurey, ancien directeur général de la gendarmerie, pour représenter le reste du territoire. Il s’agit de militaires de tous grades, des femmes et des hommes, gendarmes départementaux, mobiles, de la garde républicaine et de la gendarmerie maritime ; un maître chien, un motard, un mécano hélico... Le but étant de montrer toute la diversité de l’Institution.
Elle écrit et il dessine. Chaque portrait comprend : une photo en uniforme, un peinture en civil et un texte. Pendant qu’Aurélie recueille les propos du militaire, Aakash mitraille avec son objectif. C’est ensuite qu’il passe en atelier pour peindre l’homme ou la femme derrière l’uniforme.
L’aboutissement du projet est d’exposer ces 16 portraits pour les dévoiler au public et ainsi raconter les vies et les émotions des hommes et des femmes qui composent la Gendarmerie nationale. Aurélie Auffray explique la scénographie : « On y entrera comme on entrerait en gendarmerie, avec les photos en uniforme. Puis, on découvrira les toiles très colorées d’Aakash, toute sa créativité. Chaque peinture sera accompagnée du texte. ».
Le projet est décidé et ce sont 16 portraits qui vont être réalisés en une année, 13 en région, 2 en outre-mer et celui du général Richard Lizurey, ancien directeur général de la gendarmerie, pour représenter le reste du territoire. Il s’agit de militaires de tous grades, des femmes et des hommes, gendarmes départementaux, mobiles, de la garde républicaine et de la gendarmerie maritime ; un maître chien, un motard, un mécano hélico... Le but étant de montrer toute la diversité de l’Institution.
Elle écrit et il dessine. Chaque portrait comprend : une photo en uniforme, un peinture en civil et un texte. Pendant qu’Aurélie recueille les propos du militaire, Aakash mitraille avec son objectif. C’est ensuite qu’il passe en atelier pour peindre l’homme ou la femme derrière l’uniforme.
L’aboutissement du projet est d’exposer ces 16 portraits pour les dévoiler au public et ainsi raconter les vies et les émotions des hommes et des femmes qui composent la Gendarmerie nationale. Aurélie Auffray explique la scénographie : « On y entrera comme on entrerait en gendarmerie, avec les photos en uniforme. Puis, on découvrira les toiles très colorées d’Aakash, toute sa créativité. Chaque peinture sera accompagnée du texte. ».