Cartier et les arts de l’Islam – Catalogue d’exposition
Leur découverte des arts de l’Islam à l’occasion de grandes expositions organisées à Paris et à Munich en 1903 et 1910 joue alors un rôle significatif dans la naissance d’une esthétique renouvelée, empreinte de modernité.
En quête de pierres précieuses et de perles, Jacques Cartier se rend en Inde où il collecte des bijoux anciens et contemporains, pour les revendre en l’état, s’en inspirer ou les recomposer au sein de créations nouvelles.
Louis Cartier innove aussi par de nouvelles associations de couleurs et de matières (lapis-lazuli et turquoise, jade ou émeraude et saphir…) et par l’emploi de techniques de fabrication inspirées du monde indo-persan.
Chefs-d’œuvre de l’art islamique, dessins, livres d’ornements et d’architecture, photographies et documents d’archives nous plongent dans le processus créatif à la recherche des sources d’inspiration des réalisations de la Maison Cartier.
Cartier et les arts de l’Islam. Aux sources de la modernité
Sous la direction de Heather Ecker, Judith Henon-Raynaud, Évelyne Possémé et Sarah Schleuning
320 pages
550 illustrations
49 €
Éditions du MAD
En quête de pierres précieuses et de perles, Jacques Cartier se rend en Inde où il collecte des bijoux anciens et contemporains, pour les revendre en l’état, s’en inspirer ou les recomposer au sein de créations nouvelles.
Louis Cartier innove aussi par de nouvelles associations de couleurs et de matières (lapis-lazuli et turquoise, jade ou émeraude et saphir…) et par l’emploi de techniques de fabrication inspirées du monde indo-persan.
Chefs-d’œuvre de l’art islamique, dessins, livres d’ornements et d’architecture, photographies et documents d’archives nous plongent dans le processus créatif à la recherche des sources d’inspiration des réalisations de la Maison Cartier.
Cartier et les arts de l’Islam. Aux sources de la modernité
Sous la direction de Heather Ecker, Judith Henon-Raynaud, Évelyne Possémé et Sarah Schleuning
320 pages
550 illustrations
49 €
Éditions du MAD
Thierry Mugler – Catalogue d’exposition
L’exposition d’envergure consacrée au couturier Thierry Mugler présentée au Musée des Arts décoratifs réunit plus de 150 tenues réalisées entre 1977 et 2014, en plus de nombreux documents d’archives inédits. Elle dévoile les multiples univers de cette figure artistique incontournable – couturier visionnaire, metteur en scène, photographe et parfumeur – en revisitant notamment ses créations prêt-à-porter et haute couture.
Thierry Mugler a mis en scène les défilés de mode les plus spectaculaires de son temps. Il a conçu des costumes de scène pour la Comédie-Française et pour le Festival d’Avignon. Il a habillé de nombreuses stars et a créé les costumes des tournées de Mylène Farmer ou encore de Beyoncé. Photographe et réalisateur, il a aussi dirigé des clips et des courts-métrages.
Le catalogue qui accompagne l’exposition en présente les principales sections et reproduit une sélection de photographies, la plupart inédites, signées par les plus grands artistes qui ont entouré Mugler tout au long de sa carrière – Helmut Newton, Peter Knapp, Jacques-Henri Lartigue, David LaChapelle, Stéphane Sednaoui, Jean-Baptiste Mondino, Jean-Paul Goude, Pierre & Gilles, Patrice Stable, Inez & Vinoodh, pour n’en nommer que quelques-uns. Elles sont complétées par des vues de la scénographie
de l’exposition.
Thierry Mugler
Sous la direction de Thierry-Maxime Loriot 232 pages
185 illustrations
45 €
Éditions du MAD
Thierry Mugler a mis en scène les défilés de mode les plus spectaculaires de son temps. Il a conçu des costumes de scène pour la Comédie-Française et pour le Festival d’Avignon. Il a habillé de nombreuses stars et a créé les costumes des tournées de Mylène Farmer ou encore de Beyoncé. Photographe et réalisateur, il a aussi dirigé des clips et des courts-métrages.
Le catalogue qui accompagne l’exposition en présente les principales sections et reproduit une sélection de photographies, la plupart inédites, signées par les plus grands artistes qui ont entouré Mugler tout au long de sa carrière – Helmut Newton, Peter Knapp, Jacques-Henri Lartigue, David LaChapelle, Stéphane Sednaoui, Jean-Baptiste Mondino, Jean-Paul Goude, Pierre & Gilles, Patrice Stable, Inez & Vinoodh, pour n’en nommer que quelques-uns. Elles sont complétées par des vues de la scénographie
de l’exposition.
Thierry Mugler
Sous la direction de Thierry-Maxime Loriot 232 pages
185 illustrations
45 €
Éditions du MAD
Histoires de photographies – Catalogue d’exposition
Au fil des décennies s’est constituée une collection de plus de 350 000 photographies aux techniques et supports variés. S’étendant des années 1850 à 2000, elle convoque différents genres : le paysage, le portrait, la reproduction d’objets ou d’architecture, l’image de mode ou de publicité.
Plus de 350 photographies sont réunies dans ce livre, dont un grand nombre étaient restées jusqu’à présent inédites. Il invite à redécouvrir les œuvres d’Eugène Atget, Henri Le Secq, Willy Ronis, Horst P. Horst ou Laure Albin Guillot tout en dévoilant d’importants fonds photographiques d’auteurs demeurés inconnus comme Henri Bodin, Jean Collas ou Paul Henrot. Fruit d’une histoire particulière, cette collection méconnue révèle la diversité des approches et des usages de la photographie liée aux arts décoratifs, à l’architecture et à la mode.
Ce livre présente pour la première fois au public la collection de photographies du musée des Arts décoratifs à Paris. Considérés comme des arts mineurs au XIXe siècle, les arts décoratifs et la photographie ont cherché à unir leur savoir-faire. Leurs ambitions pédagogiques, artistiques, politiques et économiques ont nourri une relation dans laquelle le musée des Arts Décoratifs a joué un rôle fondamental.
Histoires de photographies. Collections du musée des Arts décoratifs
Sous la direction de Sébastien Quéquet 280 pages
350 illustrations
45 €
Éditions du MAD
Plus de 350 photographies sont réunies dans ce livre, dont un grand nombre étaient restées jusqu’à présent inédites. Il invite à redécouvrir les œuvres d’Eugène Atget, Henri Le Secq, Willy Ronis, Horst P. Horst ou Laure Albin Guillot tout en dévoilant d’importants fonds photographiques d’auteurs demeurés inconnus comme Henri Bodin, Jean Collas ou Paul Henrot. Fruit d’une histoire particulière, cette collection méconnue révèle la diversité des approches et des usages de la photographie liée aux arts décoratifs, à l’architecture et à la mode.
Ce livre présente pour la première fois au public la collection de photographies du musée des Arts décoratifs à Paris. Considérés comme des arts mineurs au XIXe siècle, les arts décoratifs et la photographie ont cherché à unir leur savoir-faire. Leurs ambitions pédagogiques, artistiques, politiques et économiques ont nourri une relation dans laquelle le musée des Arts Décoratifs a joué un rôle fondamental.
Histoires de photographies. Collections du musée des Arts décoratifs
Sous la direction de Sébastien Quéquet 280 pages
350 illustrations
45 €
Éditions du MAD
Histoire du graphisme en France. 1500-2020
Devenu au fil du XXe siècle un vecteur fondamental de la communication, le graphisme est aujourd’hui reconnu comme un domaine de création majeur en France, et la première édition de ce livre parue en 2005 y a largement contribué. Si cette discipline a vu le jour grâce à la typographie, son champ d’action s’est élargi à l’affiche, l’édition, la presse, la construction d’une identité visuelle, la signalétique, l’habillage télévisuel, le web… Le graphisme dialogue aujourd’hui avec l’architecture, les arts plastiques, le design, la mode, la musique, l’audiovisuel et le numérique.
Dans un parcours chronologique allant de 1529 à 2020, ce livre suit l’évolution parallèle de la société et du graphisme en France, à travers le travail de graphistes français et celui de graphistes d’écoles étrangères venus s’installer à Paris, imprégnés d’une esthétique nouvelle.
Cette fresque historique est émaillée de grands noms, de Toulouse-Lautrec à Philippe Apeloig en passant par Cassandre, Raymond Savignac ou Roman Cieslewicz. De l’affiche à l’omniprésence des écrans, la question des supports de diffusion, de leur expansion et de leur rôle dans l’espace public ou privé est posée sous la forme d’une analyse critique de la communication visuelle. Plus largement, ce livre propose une réflexion sur la place du graphisme en tant que pratique artistique et sociale.
Histoire du graphisme en France. 1500-2020
Michel Wlassikoff
Nouvelle édition revue et augmentée
352 pages
Plus de 1 000 illustrations 49 €
Éditions du MAD
Dans un parcours chronologique allant de 1529 à 2020, ce livre suit l’évolution parallèle de la société et du graphisme en France, à travers le travail de graphistes français et celui de graphistes d’écoles étrangères venus s’installer à Paris, imprégnés d’une esthétique nouvelle.
Cette fresque historique est émaillée de grands noms, de Toulouse-Lautrec à Philippe Apeloig en passant par Cassandre, Raymond Savignac ou Roman Cieslewicz. De l’affiche à l’omniprésence des écrans, la question des supports de diffusion, de leur expansion et de leur rôle dans l’espace public ou privé est posée sous la forme d’une analyse critique de la communication visuelle. Plus largement, ce livre propose une réflexion sur la place du graphisme en tant que pratique artistique et sociale.
Histoire du graphisme en France. 1500-2020
Michel Wlassikoff
Nouvelle édition revue et augmentée
352 pages
Plus de 1 000 illustrations 49 €
Éditions du MAD
Lettres à Camondo
L’écrivain et céramiste Edmund de Waal est un descendant de la dynastie des Ephrussi, famille de banquiers juifs originaire d’Odessa qui a joué un rôle important dans le monde des affaires et de l’art à partir de la fin du XIXe siècle entre Paris et Vienne.
En 1871, son aïeul Charles Ephrussi s’installe à Paris dans un hôtel particulier de la rue de Monceau, non loin de celui édifié par Moïse de Camondo en 1911 pour y accueillir sa collection d’œuvres d’art français du XVIIIe siècle. Moïse de Camondo, dont la famille vient quant à elle de Constantinople, donne en 1936 à l’État français son hôtel et ses collections en mémoire de son fils Nissim, tombé en 1917. Il est devenu le musée Nissim de Camondo.
Saisi par l’histoire parallèle de ces deux familles, proches par leur goût pour l’art et leur philanthropie autant que par leur destin tragique au cours du XXe siècle, Edmund de Waal s’est nourri de leurs archives pour écrire une cinquantaine de lettres à Moïse de Camondo.
Entre souvenirs personnels et réflexions sur la mémoire, la mélancolie et l’art, Edmund de Waal dessine en creux le portrait de Moïse de Camondo en collectionneur et, au-delà, celui de tout un monde aujourd’hui disparu où l’on croise Proust, Chardin et Renoir. Œuvres d’art, peintures et photographies sont les témoins tangibles de cette époque révolue, au charme puissant.
Lettres à Camondo
Edmund de Waal
146 pages
35 illustrations
25 €
Éditions du MAD
En 1871, son aïeul Charles Ephrussi s’installe à Paris dans un hôtel particulier de la rue de Monceau, non loin de celui édifié par Moïse de Camondo en 1911 pour y accueillir sa collection d’œuvres d’art français du XVIIIe siècle. Moïse de Camondo, dont la famille vient quant à elle de Constantinople, donne en 1936 à l’État français son hôtel et ses collections en mémoire de son fils Nissim, tombé en 1917. Il est devenu le musée Nissim de Camondo.
Saisi par l’histoire parallèle de ces deux familles, proches par leur goût pour l’art et leur philanthropie autant que par leur destin tragique au cours du XXe siècle, Edmund de Waal s’est nourri de leurs archives pour écrire une cinquantaine de lettres à Moïse de Camondo.
Entre souvenirs personnels et réflexions sur la mémoire, la mélancolie et l’art, Edmund de Waal dessine en creux le portrait de Moïse de Camondo en collectionneur et, au-delà, celui de tout un monde aujourd’hui disparu où l’on croise Proust, Chardin et Renoir. Œuvres d’art, peintures et photographies sont les témoins tangibles de cette époque révolue, au charme puissant.
Lettres à Camondo
Edmund de Waal
146 pages
35 illustrations
25 €
Éditions du MAD