Paris, Galerie Minsky. Centenaire du Surréalisme : Leonor Fini & Stanislao Lepri. Œuvres sur papier. 12 déc. 2024. - 15 janv. 2025
Leonor Fini, étude pour Le Livre d’Images (c.1970). Aquarelle sur papier, 65 x 100 cm.
Pygmalyonne
L’histoire commence par un coup de foudre, celui de Stanislao Lepri pour Leonor Fini, lorsqu’il l’entrevit pour la première fois dans un cinéma de Monte Carlo, en 1941. Ce géant de 2 mètres, diplomate issu de la vieille noblesse italienne, trouva prétexte pour lui rendre visite dès le lendemain. Ils se revirent et il lui montra des dessins qu'il avait réalisé à dix-sept ans et dont il ne se séparait jamais. Elle l'encouragea à se consacrer à la peinture.
« Je l’amenais dans les musées ; le poussais à peindre, car cela devait lui plaire beaucoup plus » que la carrière diplomatique, relate Leonor Fini. « C’est ce qu'il comprit bien. Il quitta la diplomatie et se mit à peindre. »
« Non, Stanislao Lepri n'était pas mon élève. (…) Son monde était très différent du mien ; mais nous étions devenus tellement amis que nous ne nous quittions plus. Nous avons vécu ensemble, avec Constantin Jelenski, des années qui furent les meilleures de ma vie. » Leonor Fini
L’histoire commence par un coup de foudre, celui de Stanislao Lepri pour Leonor Fini, lorsqu’il l’entrevit pour la première fois dans un cinéma de Monte Carlo, en 1941. Ce géant de 2 mètres, diplomate issu de la vieille noblesse italienne, trouva prétexte pour lui rendre visite dès le lendemain. Ils se revirent et il lui montra des dessins qu'il avait réalisé à dix-sept ans et dont il ne se séparait jamais. Elle l'encouragea à se consacrer à la peinture.
« Je l’amenais dans les musées ; le poussais à peindre, car cela devait lui plaire beaucoup plus » que la carrière diplomatique, relate Leonor Fini. « C’est ce qu'il comprit bien. Il quitta la diplomatie et se mit à peindre. »
« Non, Stanislao Lepri n'était pas mon élève. (…) Son monde était très différent du mien ; mais nous étions devenus tellement amis que nous ne nous quittions plus. Nous avons vécu ensemble, avec Constantin Jelenski, des années qui furent les meilleures de ma vie. » Leonor Fini
Stanislao Lepri, "L'envol de Méphisto", 1974. Encre sur papier, 50 x 39 cm
Leonor Fini, “Portrait de Jean Genet” (1948). Aquarelle sur papier, 29 x 43 cm
Info+
GALERIE MINSKY
37 rue Vaneau
75007 Paris
01 55 35 09 00
En partenariat avec le Centre Pompidou
www.galerieminsky.com
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