Pannaphan Yodmanee The night river Technique mixte sur toile 97 x 130 cm 2023 © Galerie Sarto
L’artiste apprend à combiner ses influences et ses expériences pour développer un art envoûtant, combinant objets trouvés, éléments naturels tels que des roches ou des mi-néraux et éléments peints. Elle façonne une esthétique unique à la jonction entre Orient et Occident et crée une œuvre qui transcende les frontières artistiques conventionnelles pour offrir une expérience visuelle et émotionnelle riche en nuances.
Combinant des objets d’art traditionnels thaïlandais et des éléments contemporains, ainsi que des dessins et des sculptures, elle crée des espaces artistiques qui rap-pellent un monde spirituel au-delà d’une religion spécifique. Basée à Bangkok, Yodmanee a commencé à exposer au milieu des années 2000. En 2015, son travail a été présenté lors de l’exposition Thailand Eye à la Saatchi Gallery de Londres, puis au Bangkok Art and Culture Centre.
En 2016, lors de la Biennale de Singapour, elle remporte le prestigieux prix Benesse et Akiko Miki, présidente du jury, déclare : « Son travail pictural, sculptural et architectural crée un paysage unique et époustouflant en mélangeant des visions microscopiques et macroscopiques avec la cosmologie bouddhiste, des techniques traditionnelles et modernes, et des matériaux naturels et artificiels. Nous attendons avec impatience de voir comment sa sensibilité critique pourrait apporter des idées profondes sur la civilisation humaine, les conditions naturelles et la spiritualité à notre époque [...] ». Elle présentait alors son œuvre Aftermath, une installation à l’image d’un champ de ruines architecturales.
En 2018, elle participe à la Biennale de Bangkok avec son installation The Last Day. Cet assemblage monumental de pierres et de minéraux, disposés en cercles concentriques, crée un motif complexe et hypnotique qui évoque la fin du monde et sa régénération. En 2019, son installation Quarterly Myth attire tous les regards à la Biennale de Lyon. Cette invitation à méditer sur le temps, la mémoire et la survivance des mythes prend la forme de deux grands cylindres en béton gris. A l’intérieur de ces imposantes structures disposées perpendiculairement, l’artiste a créé des fresques et des bas-reliefs, s’inspirant à la fois de l’art bouddhique et de l’art chrétien. Ces œuvres, témoins d’un monde ancien, de-meurent inachevées. La grâce de ce non finito et la délicatesse du pinceau de Pannaphan Yodmanee crée un contraste frappant avec la masse informe du béton.
A chaque fois, le travail de l’artiste est accueilli avec enthousiasme par la critique et le public. Son esthétique unique a permis de la faire connaître au niveau international, et ses œuvres figurent maintenant dans les collections publiques et privées du monde entier. Nous pouvons notamment citer les collections du Singapore Art Museum, de la Queens-land Art Gallery, Gallery of Modern Art à Brisbane (Australie), du Yuz Museum à Shan-ghai (Chine) et du Beness Art Site à Naoshima (Japon).
Pour sa première exposition à la galerie Sarto, Pannaphan Yodmanee développe un nouvel aspect de son travail, dans la lignée de la fresque qu’elle a créé pour le plafond voûté de l’atrium de Soho House Bangkok. Ses toiles mêlent des techniques diverses : lin, bois, ciment… L’artiste peint, grave, colle et représente des corps de femmes aux allures mythologiques. Elle reprend des thèmes classiques de l’histoire de l’art occidentale : les trois grâces, Adam et Ève, le déluge… tout en les mêlant à des références bouddhistes. Elle décompose les corps, les fragmente et les reconstruit dans une harmonie délicate mais puissante. Nous sommes fiers et honorés de présenter son travail, du 13 janvier au 2 février 2024 dans la galerie du 3 rue de Solférino.
Combinant des objets d’art traditionnels thaïlandais et des éléments contemporains, ainsi que des dessins et des sculptures, elle crée des espaces artistiques qui rap-pellent un monde spirituel au-delà d’une religion spécifique. Basée à Bangkok, Yodmanee a commencé à exposer au milieu des années 2000. En 2015, son travail a été présenté lors de l’exposition Thailand Eye à la Saatchi Gallery de Londres, puis au Bangkok Art and Culture Centre.
En 2016, lors de la Biennale de Singapour, elle remporte le prestigieux prix Benesse et Akiko Miki, présidente du jury, déclare : « Son travail pictural, sculptural et architectural crée un paysage unique et époustouflant en mélangeant des visions microscopiques et macroscopiques avec la cosmologie bouddhiste, des techniques traditionnelles et modernes, et des matériaux naturels et artificiels. Nous attendons avec impatience de voir comment sa sensibilité critique pourrait apporter des idées profondes sur la civilisation humaine, les conditions naturelles et la spiritualité à notre époque [...] ». Elle présentait alors son œuvre Aftermath, une installation à l’image d’un champ de ruines architecturales.
En 2018, elle participe à la Biennale de Bangkok avec son installation The Last Day. Cet assemblage monumental de pierres et de minéraux, disposés en cercles concentriques, crée un motif complexe et hypnotique qui évoque la fin du monde et sa régénération. En 2019, son installation Quarterly Myth attire tous les regards à la Biennale de Lyon. Cette invitation à méditer sur le temps, la mémoire et la survivance des mythes prend la forme de deux grands cylindres en béton gris. A l’intérieur de ces imposantes structures disposées perpendiculairement, l’artiste a créé des fresques et des bas-reliefs, s’inspirant à la fois de l’art bouddhique et de l’art chrétien. Ces œuvres, témoins d’un monde ancien, de-meurent inachevées. La grâce de ce non finito et la délicatesse du pinceau de Pannaphan Yodmanee crée un contraste frappant avec la masse informe du béton.
A chaque fois, le travail de l’artiste est accueilli avec enthousiasme par la critique et le public. Son esthétique unique a permis de la faire connaître au niveau international, et ses œuvres figurent maintenant dans les collections publiques et privées du monde entier. Nous pouvons notamment citer les collections du Singapore Art Museum, de la Queens-land Art Gallery, Gallery of Modern Art à Brisbane (Australie), du Yuz Museum à Shan-ghai (Chine) et du Beness Art Site à Naoshima (Japon).
Pour sa première exposition à la galerie Sarto, Pannaphan Yodmanee développe un nouvel aspect de son travail, dans la lignée de la fresque qu’elle a créé pour le plafond voûté de l’atrium de Soho House Bangkok. Ses toiles mêlent des techniques diverses : lin, bois, ciment… L’artiste peint, grave, colle et représente des corps de femmes aux allures mythologiques. Elle reprend des thèmes classiques de l’histoire de l’art occidentale : les trois grâces, Adam et Ève, le déluge… tout en les mêlant à des références bouddhistes. Elle décompose les corps, les fragmente et les reconstruit dans une harmonie délicate mais puissante. Nous sommes fiers et honorés de présenter son travail, du 13 janvier au 2 février 2024 dans la galerie du 3 rue de Solférino.
Info+
« Origines » de Pannaphan Yodmanee
Exposition du 13 janvier au 2 février 2024 de 10h à 19h30, du lundi au samedi
Vernissage le 13 janvier 2024
De 15h à 20h
Galerie Sarto
3 rue de Solférino
75007 Paris
Cel : + 33 6 35 21 43 51
www.sartoart.com
Exposition du 13 janvier au 2 février 2024 de 10h à 19h30, du lundi au samedi
Vernissage le 13 janvier 2024
De 15h à 20h
Galerie Sarto
3 rue de Solférino
75007 Paris
Cel : + 33 6 35 21 43 51
www.sartoart.com