Oum Kalsoum n'a chanté qu'une seule fois en dehors du monde arabe
Oum Kalsoum
On découvrira ainsi les différentes facettes de ce personnage devenu icône, de cette diva d’Orient qui se présentait avant tout comme « une femme, une paysanne, une Égyptienne », on montrera aussi, combien sa mémoire est encore vivante de nos jours.
Le parcours de l’exposition – ni chronologie ni hagiographie – propose quatre approches distinctes mais cependant complémentaires, chacune réunissant photographies, séquences sonores et audiovisuelles, documents, objets, costumes et œuvres.
La première section, « l’Égyptienne » s’attache à la personne d’Oum Kalsoum, à son milieu, à ses origines dans une Égypte qui, en moins de trois quarts de siècle connaîtra d’innombrables changements politiques. L’aura d’Oum Kalsoum va croissant dans ce contexte jusqu’à lui conférer un statut de représentante officielle de son pays.
La deuxième section, « le Talent », fait la part belle à l’interprète avec l’ambition de faire comprendre ce qui est à la source du succès d’Oum Kalsoum : la musique, les textes et, surtout, sa voix qui provoquent dans son auditoire le tarab, ce plaisir qui confine à l’extase quand chaque note, chaque mot, chaque intonation est goûté par les auditeurs.
La troisième section, « l’Engagement », rend compte de l’implication d’Oum Kalsoum dans la vie publique à la fois comme militante des droits de la femme et comme moteur d’une certaine unité panarabe.
La quatrième section, « l’Héritage », réunit un éventail d’œuvres de plasticiens contemporains, de stylistes et d’accessoiristes dans lesquelles l’image de la « Dame » est récurrente. Dans cette section un espace est réservé à la projection de performance d’interprètes d’aujourd’hui qui reprennent le répertoire d’Oum Kalsoum ainsi que quelques interviews qui explicitent la démarche de ces artistes.
Au cœur de l’exposition, un « café Oum Kalsoum » – inspiré de tous ceux qui ont fleuri en Égypte et partout ailleurs dans le monde arabe – propose un lieu de détente dans lequel le visiteur peut s’abandonner, bercé par la voix de l’artiste.
Oum Kalsoum n’a chanté qu’une seule fois en dehors du monde arabe : c’était à Paris, à l’Olympia, en 1967. Quelque quarante années plus tard, l’IMA est fier de célébrer sa mémoire et – une nouvelle fois à Paris… – de donner envie à une autre génération d’aller à sa rencontre.
Le parcours de l’exposition – ni chronologie ni hagiographie – propose quatre approches distinctes mais cependant complémentaires, chacune réunissant photographies, séquences sonores et audiovisuelles, documents, objets, costumes et œuvres.
La première section, « l’Égyptienne » s’attache à la personne d’Oum Kalsoum, à son milieu, à ses origines dans une Égypte qui, en moins de trois quarts de siècle connaîtra d’innombrables changements politiques. L’aura d’Oum Kalsoum va croissant dans ce contexte jusqu’à lui conférer un statut de représentante officielle de son pays.
La deuxième section, « le Talent », fait la part belle à l’interprète avec l’ambition de faire comprendre ce qui est à la source du succès d’Oum Kalsoum : la musique, les textes et, surtout, sa voix qui provoquent dans son auditoire le tarab, ce plaisir qui confine à l’extase quand chaque note, chaque mot, chaque intonation est goûté par les auditeurs.
La troisième section, « l’Engagement », rend compte de l’implication d’Oum Kalsoum dans la vie publique à la fois comme militante des droits de la femme et comme moteur d’une certaine unité panarabe.
La quatrième section, « l’Héritage », réunit un éventail d’œuvres de plasticiens contemporains, de stylistes et d’accessoiristes dans lesquelles l’image de la « Dame » est récurrente. Dans cette section un espace est réservé à la projection de performance d’interprètes d’aujourd’hui qui reprennent le répertoire d’Oum Kalsoum ainsi que quelques interviews qui explicitent la démarche de ces artistes.
Au cœur de l’exposition, un « café Oum Kalsoum » – inspiré de tous ceux qui ont fleuri en Égypte et partout ailleurs dans le monde arabe – propose un lieu de détente dans lequel le visiteur peut s’abandonner, bercé par la voix de l’artiste.
Oum Kalsoum n’a chanté qu’une seule fois en dehors du monde arabe : c’était à Paris, à l’Olympia, en 1967. Quelque quarante années plus tard, l’IMA est fier de célébrer sa mémoire et – une nouvelle fois à Paris… – de donner envie à une autre génération d’aller à sa rencontre.