Perrin & Perrin, Portrait 1, Portrait 2, Portrait 3, Portrait 4, 2023, sculptures en verre, pièces uniques
Pour cette occasion, Benjamin Poulanges présente trois nouvelles toiles et trois nouvelles céramiques. Pour la première fois dans l’œuvre abstraite de l’artiste, des personnages apparaissent. Privés de figuration, l’observateur peut y projeter le portrait de son choix.
Mauro Mori propose une interprétation du portrait au travers de deux œuvres : Derrière le rideau et le Voyeur. Tel un véritable Homo faber, l’artiste sculpte ces deux œuvres tel le galbe d’une figure humaine et une perspective des formes tridimensionnelles. La troisième pièce, Good nose, présente un clin d’œil humoristique à l’élément central du visage et donc de tout portrait.
Plus encore qu’un portrait, l’œuvre Présence Black Purple d’Ulrika Liljedahl présente une véritable silhouette tourbillonnante doté d’une couleur onirique. Avec cette œuvre, l’artiste étonne encore en associant le crin de cheval et une teinte de violet aux reflets satinés.
Pour cette occasion, Benjamin Poulanges présente trois nouvelles toiles et trois nouvelles céramiques. Pour la première fois dans l’œuvre abstraite de l’artiste, des personnages apparaissent. Privés de figuration, l’observateur peut y projeter le portrait de son choix.
Mauro Mori propose une interprétation du portrait au travers de deux œuvres : Derrière le rideau et le Voyeur. Tel un véritable Homo faber, l’artiste sculpte ces deux œuvres tel le galbe d’une figure humaine et une perspective des formes tridimensionnelles. La troisième pièce, Good nose, présente un clin d’œil humoristique à l’élément central du visage et donc de tout portrait.
Plus encore qu’un portrait, l’œuvre Présence Black Purple d’Ulrika Liljedahl présente une véritable silhouette tourbillonnante doté d’une couleur onirique. Avec cette œuvre, l’artiste étonne encore en associant le crin de cheval et une teinte de violet aux reflets satinés.
Ulrika Liljedahl, Présence Black Purple, 2021, scultpture en crin de cheval, pièce unique/ Mauro Mori, Derrière le rideau, 2011, bois d'albizia, pièce unique
Pour Portraits, Éric de Dormael, sculpteur et designer, s’est emparé de ce thème avec l’élément portraitiste le plus à portée de main : le miroir. Au travers de sa réflexion est créé un nombre infini de portraits. Black lines est un miroir unique, comme une œuvre fonctionnelle.
Gianluca Pacchioni, sculpteur sur métal, aime le contraste et le défi entre la nature brute des métaux et la sensibilité humaine, qui est capable de les transformer en beauté. La table basse Under the Sheets, évocation d’un corps se réveillant sous un drap, représente sa recherche de matériaux étendue ici aux minéraux. Ici, l’onyx blanc apporte de nouvelles tonalités, une physicalité dense et façonnée de manière spectaculaire.
Black storm est, pour Étienne Moyat, le portrait d’une tempête prenant des allures florales comme un changement naturel en écho avec son amour pour les éléments terrestres. Pour cette œuvre, il utilise son matériau de prédilection, le bois, et le magnifie par la sculpture.
Agnès Baillon, renommée pour ses sculptures figuratives, utilise les codes classiques et les déconstruit en décomposant deux éléments figuratifs du portrait : les yeux et la bouche. Comme une mise en scène surréaliste, les yeux observent l’observateur et le place en acteur principal.
Gianluca Pacchioni, sculpteur sur métal, aime le contraste et le défi entre la nature brute des métaux et la sensibilité humaine, qui est capable de les transformer en beauté. La table basse Under the Sheets, évocation d’un corps se réveillant sous un drap, représente sa recherche de matériaux étendue ici aux minéraux. Ici, l’onyx blanc apporte de nouvelles tonalités, une physicalité dense et façonnée de manière spectaculaire.
Black storm est, pour Étienne Moyat, le portrait d’une tempête prenant des allures florales comme un changement naturel en écho avec son amour pour les éléments terrestres. Pour cette œuvre, il utilise son matériau de prédilection, le bois, et le magnifie par la sculpture.
Agnès Baillon, renommée pour ses sculptures figuratives, utilise les codes classiques et les déconstruit en décomposant deux éléments figuratifs du portrait : les yeux et la bouche. Comme une mise en scène surréaliste, les yeux observent l’observateur et le place en acteur principal.
Perrin & Perrin, Flotaison, 2020, sculpture en verre et base en bronze, pièce unique
Atlantis est le portrait de deux grandes inspirations de Jean-Christophe Malaval : l’œuvre de Jules Vernes et la mythologie grecque. Ces deux univers ont donné naissance à ce vase aux formes vivantes figées dans le temps, réalisé d’abord en bronze puis en céramique.
Selon Garo Minassian, le portrait de cette sculpture est à travers ce volet mi-clos, la révélation de la lueur de vie qui témoigne du passé. Comprendre l’itinéraire des larmes suspendues, lire sur ces lèvres muettes, ce qu’a pu être l’existence disparue. Imaginer les joies et les tristesses, la voix et les humeurs d’une inconnue qui demeure, au-delà du blanc et du noir, une âme haute en couleurs, sous des traits d’éternité.
Pour Martine et Jacki Perrin, « le portrait n’a pas à imiter le réel mais à le considérer d’un point de vue novateur et original. » Ainsi, en élargissant les champs d’exploration tels que les matériaux ou encore la fragmentation, le portrait se libère des contraintes de la ressemblance visuelle. Le couple d’artistes recherche une représentation contemporaine qui peut et doit être déstabilisante comme l’ont fait en leur temps le sculpteur Arman avec le Portrait-robot d’Iris ou Man Ray avec Les larmes.
Enfin, l’œuvre de Mircea Cantor Add verticality to your seat est une représentation symbolique du moment où Socrate, acceptant sa sentence, s’élève et transcende sa condition. C’est aussi un hommage à la Colonne sans fin de Brancusi.
Chaque artiste avec le portrait qu’il présente s’inscrit dans l’histoire de l’art par son hommage, par ses références et par les codes utilisés.
Selon Garo Minassian, le portrait de cette sculpture est à travers ce volet mi-clos, la révélation de la lueur de vie qui témoigne du passé. Comprendre l’itinéraire des larmes suspendues, lire sur ces lèvres muettes, ce qu’a pu être l’existence disparue. Imaginer les joies et les tristesses, la voix et les humeurs d’une inconnue qui demeure, au-delà du blanc et du noir, une âme haute en couleurs, sous des traits d’éternité.
Pour Martine et Jacki Perrin, « le portrait n’a pas à imiter le réel mais à le considérer d’un point de vue novateur et original. » Ainsi, en élargissant les champs d’exploration tels que les matériaux ou encore la fragmentation, le portrait se libère des contraintes de la ressemblance visuelle. Le couple d’artistes recherche une représentation contemporaine qui peut et doit être déstabilisante comme l’ont fait en leur temps le sculpteur Arman avec le Portrait-robot d’Iris ou Man Ray avec Les larmes.
Enfin, l’œuvre de Mircea Cantor Add verticality to your seat est une représentation symbolique du moment où Socrate, acceptant sa sentence, s’élève et transcende sa condition. C’est aussi un hommage à la Colonne sans fin de Brancusi.
Chaque artiste avec le portrait qu’il présente s’inscrit dans l’histoire de l’art par son hommage, par ses références et par les codes utilisés.
Mauro Mori, Voyeur, 2011, bois d'albizia, pièce unique / Mircea Cantor, Add verticality to your seat, 2018, bois de chêne, pièce unique / Mircea Cantor, Take the world into the world , 2018, bronze, série limitée
Informations pratiques
Galerie Negropontes
« Portraits »
14-16 rue Jean-Jacques Rousseau
75001, Paris, France
Du 6 septembre au 21 décembre 2024
« Portraits »
14-16 rue Jean-Jacques Rousseau
75001, Paris, France
Du 6 septembre au 21 décembre 2024