Amoureux de ses compositions, notamment ses magnifiques pages pour quatuor, le quatuor Terpsycordes a souhaité lui rendre hommage. Dans une quête éternelle de toucher à l’essence du texte, les musiciens nous feront découvrir les liens entre deux partitions, l’une de Schubert, l’autre de Beethoven, composées durant la même année – 1826. Or, on dit que ces deux compositeurs ne se seraient jamais rencontrés…
C’est là que l’intrigue commence. Et si une rencontre secrète avait pourtant eu lieu, à Vienne, entre ces deux génies ?
L’idée de monter une pièce de théâtre musical surgit. Alain Carré en écrit le texte et s’occupe de la mise en scène. Le Quatuor Terpsycordes se consacre à la partie musicale en intégrant les plus belles pages du répertoire écrites par les deux personnages, Schubert et Beethoven, réunis sur scène.
C’est là que l’intrigue commence. Et si une rencontre secrète avait pourtant eu lieu, à Vienne, entre ces deux génies ?
L’idée de monter une pièce de théâtre musical surgit. Alain Carré en écrit le texte et s’occupe de la mise en scène. Le Quatuor Terpsycordes se consacre à la partie musicale en intégrant les plus belles pages du répertoire écrites par les deux personnages, Schubert et Beethoven, réunis sur scène.
Post-Scriptum 1826 – note d’intention
Sur les rapports de Beethoven et de Schubert, beaucoup de légendes ont couru, qui ne résistent guère à l’examen. Deux choses sont sûres : la passion quasi adoratrice de Schubert pour Beethoven ; et le fait que Schubert n’était pas tout à fait inconnu de Beethoven.
Schubert hante les cafés que fréquente Beethoven, se tient à l’affût des paroles que prononce son idole à voix haute, le boit des yeux et des oreilles…
Schubert a souvent déploré, en particulier à la mort de Beethoven en 1827, que celui-ci ait été si peu abordable, il était peiné de n’avoir jamais pu lui parler. Il se serait estimé heureux s’il lui avait été possible de s’approcher de ce Maître inaccessible décédé à 57 ans.
L’extrême timidité de Schubert y fut sans doute pour beaucoup. « On fait grand éloge de Schubert, écrit Beethoven dans un cahier de conversation datant de 1826, mais on dit qu’il se cache. » A cette période le jeune compositeur a seulement 29 ans seulement.
Pourtant l’estime qu’avait Beethoven pour le talent de Schubert était grande : « Vraiment, en ce Schubert il y a une étincelle divine ! Celui-là fera encore beaucoup de sensation dans le monde. »
Beethoven et Schubert ne se seraient donc jamais rencontrés ?
Quelques jours seulement avant la mort du génie de Vienne, la légende se met en marche !
Un témoin lève le voile : « Je sais de façon positive que le professeur Schindler, Schubert et moi (Anselm Hüttenbrenner), nous fîmes une visite à Beethoven environ 8 jours avant sa mort (soit aux environs du 18-19 mars).
Schindler nous annonça tous les deux et demanda à Beethoven lequel de nous deux il voulait voir le premier. Beethoven dit « Que Schubert entre d’abord. »
Ici, commence la première et l’ultime conversation entre ces deux génies, au bord du gouffre…
Alain Carré
Schubert hante les cafés que fréquente Beethoven, se tient à l’affût des paroles que prononce son idole à voix haute, le boit des yeux et des oreilles…
Schubert a souvent déploré, en particulier à la mort de Beethoven en 1827, que celui-ci ait été si peu abordable, il était peiné de n’avoir jamais pu lui parler. Il se serait estimé heureux s’il lui avait été possible de s’approcher de ce Maître inaccessible décédé à 57 ans.
L’extrême timidité de Schubert y fut sans doute pour beaucoup. « On fait grand éloge de Schubert, écrit Beethoven dans un cahier de conversation datant de 1826, mais on dit qu’il se cache. » A cette période le jeune compositeur a seulement 29 ans seulement.
Pourtant l’estime qu’avait Beethoven pour le talent de Schubert était grande : « Vraiment, en ce Schubert il y a une étincelle divine ! Celui-là fera encore beaucoup de sensation dans le monde. »
Beethoven et Schubert ne se seraient donc jamais rencontrés ?
Quelques jours seulement avant la mort du génie de Vienne, la légende se met en marche !
Un témoin lève le voile : « Je sais de façon positive que le professeur Schindler, Schubert et moi (Anselm Hüttenbrenner), nous fîmes une visite à Beethoven environ 8 jours avant sa mort (soit aux environs du 18-19 mars).
Schindler nous annonça tous les deux et demanda à Beethoven lequel de nous deux il voulait voir le premier. Beethoven dit « Que Schubert entre d’abord. »
Ici, commence la première et l’ultime conversation entre ces deux génies, au bord du gouffre…
Alain Carré
Alain Carré
Auteur, comédien et metteur en scène
Directeur artistique du Festival de Théâtre Mme de Staël au château de Coppet (Suisse)
Musicien de la langue française, comédien et metteur en scène, ce troubadour du verbe est passionné par les livres et la communion entre les arts. Son répertoire s’étend du Moyen à nos jours sous la forme de monologues et de créations théâtrales.
La musique le fascine. Il l'intègre dans la plupart de ses spectacles avec ses partenaires (Brigitte Fossey, Dame Felicity Lott, Dimitri Bouclier, Emmanuelle Bertrand, Katia et Marielle Labèque, Véronique Gens, Marie-Nicole Lemieux, Emmanuel Rossfelder, etc.)
Ses rencontres avec Jean-Claude Malgoire, Gabriel Garrido, le Café Zimmermann (Pablo Valetti et Céline Frisch), les Paladins (Jérôme Corréas), etc. le conduisent à la mise en scène d'opéras qu'il aborde avec passion.
En tant que récitant avec orchestre, il travaille sous la direction de John Nelson, Yan Pascal Tortelier (Orchestre de Paris - Théâtre des Champs-Elysées), Charles Dutoit Orchestre de la Suisse Romande et Orchestre de la Tonhalle de Zürich), Roberto Foréz Veses (Orchestre d’Auvergne), Lorenzo Viotti (Orchestre Philarmonique Européen de Suisse), Arie Van Beek (Orchestre de Chambre de Genève), Daniel Kawka (Léman Lyriques Festival), etc.
Avec le pianiste François-René Duchâble, depuis une vingtaine d’années, ils ont plus de 100 créations à leur répertoire dont l’écriture et les adaptations sont entièrement réalisées par ses soins.
Alain Carré, c'est aussi une voix que l'on retrouve sur une centaine de CD de son large répertoire :
www.autrementdit.net
www.editions-astronome.com
www.fremeaux.com
Ainsi que de nombreux enregistrements pour France Culture.
www.alain-carre.fr
Directeur artistique du Festival de Théâtre Mme de Staël au château de Coppet (Suisse)
Musicien de la langue française, comédien et metteur en scène, ce troubadour du verbe est passionné par les livres et la communion entre les arts. Son répertoire s’étend du Moyen à nos jours sous la forme de monologues et de créations théâtrales.
La musique le fascine. Il l'intègre dans la plupart de ses spectacles avec ses partenaires (Brigitte Fossey, Dame Felicity Lott, Dimitri Bouclier, Emmanuelle Bertrand, Katia et Marielle Labèque, Véronique Gens, Marie-Nicole Lemieux, Emmanuel Rossfelder, etc.)
Ses rencontres avec Jean-Claude Malgoire, Gabriel Garrido, le Café Zimmermann (Pablo Valetti et Céline Frisch), les Paladins (Jérôme Corréas), etc. le conduisent à la mise en scène d'opéras qu'il aborde avec passion.
En tant que récitant avec orchestre, il travaille sous la direction de John Nelson, Yan Pascal Tortelier (Orchestre de Paris - Théâtre des Champs-Elysées), Charles Dutoit Orchestre de la Suisse Romande et Orchestre de la Tonhalle de Zürich), Roberto Foréz Veses (Orchestre d’Auvergne), Lorenzo Viotti (Orchestre Philarmonique Européen de Suisse), Arie Van Beek (Orchestre de Chambre de Genève), Daniel Kawka (Léman Lyriques Festival), etc.
Avec le pianiste François-René Duchâble, depuis une vingtaine d’années, ils ont plus de 100 créations à leur répertoire dont l’écriture et les adaptations sont entièrement réalisées par ses soins.
Alain Carré, c'est aussi une voix que l'on retrouve sur une centaine de CD de son large répertoire :
www.autrementdit.net
www.editions-astronome.com
www.fremeaux.com
Ainsi que de nombreux enregistrements pour France Culture.
www.alain-carre.fr
Quatuor Terpsycordes
Girolamo Bottiglieri, premier violon
Raya Raytcheva, second violon
Caroline Cohen Adad, alto
François Grin, violoncelle
Prisme des répertoires, multiplicité des approches musicales, kaléidoscope des personnalités, autant de facettes qui confèrent au Quatuor Terpsycordes son identité unique, à la fois singulière et plurielle. Récompensé lors de nombreux concours internationaux, dont un Premier Prix à Genève en 2001, ce carré d’archets a su faire rayonner un talent, multiple de quatre, homogène et complémentaire dans l’alchimie des musiciens, radical et audacieux dans la lecture des œuvres. Tout en gardant toujours à l’oreille le souffle de la muse Terpsichore, fille de musique qui relie le geste et l’esprit: Terre, psy, cordes.
A la scène comme au disque, les Terpsycordes prônent l’éclectisme. Leurs enregistrements, tous salués par la presse spécialisée, reflètent cette volonté de toucher l’essence du texte, à chaque projet, dans une démarche alliant rigueur et fantaisie : Schubert, Beethoven et Haydn révélés par les instruments d’époque (Ricercar et Ambronay Editions), les quatuors de Schumann (Claves) et le quintette avec piano de Vierne (Brilliant Classics) ; sans oublier leur engagement pour la musique moderne et contemporaine suisse (Gerber et Bloch, chez VDE Gallo, et Zanon, chez Claves) et des incursions dans l’univers du tango (Piazzolla et Piaf, avec William Sabatier, chez Fuga Libera) et celui du jazz (avec Maël Godinat Trionyx).
Fondé en 1997, basé à Genève, le Quatuor Terpsycordes a suivi l’enseignement de Gábor Takács-Nagy, avant de se perfectionner auprès de membres des quatuors Budapest, Hagen, Lasalle ou Mosaïques, entre autres. Galvanisés par le contraste des origines (Italie, Bulgarie, France et Suisse), ses membres éblouissent régulièrement le public des grandes salles de ce monde, comme le Concertgebouw d’Amsterdam, la Salle Gaveau de Paris, la Tonhalle de Zurich ou le Victoria Hall de Genève.
Pour cette saison 2020, le Quatuor Terpsycordes se produit notamment en Suisse, en France et en Italie. Il enregistre un nouveau CD en sextuor consacré à Piazzolla.
Il prépare un enregistrement d’un répertoire français du XIXe au XXe siècle sur instruments montés d’époque. Et rend un bel hommage à Beethoven pour les 250 ans de sa naissance au travers de plusieurs programmes dont la création ce Post-Sriptum 1826, magnifique pièce de théâtre musical.
Engagé auprès du jeune public, le Quatuor Terpsycordes participe chaque année à des programmes pédagogiques et parraine le projet « Orchestre en classe » depuis 2015.
Avec le soutien de la Ville de Genève, de la République et canton de Genève.
www.terpsycordes.com
Raya Raytcheva, second violon
Caroline Cohen Adad, alto
François Grin, violoncelle
Prisme des répertoires, multiplicité des approches musicales, kaléidoscope des personnalités, autant de facettes qui confèrent au Quatuor Terpsycordes son identité unique, à la fois singulière et plurielle. Récompensé lors de nombreux concours internationaux, dont un Premier Prix à Genève en 2001, ce carré d’archets a su faire rayonner un talent, multiple de quatre, homogène et complémentaire dans l’alchimie des musiciens, radical et audacieux dans la lecture des œuvres. Tout en gardant toujours à l’oreille le souffle de la muse Terpsichore, fille de musique qui relie le geste et l’esprit: Terre, psy, cordes.
A la scène comme au disque, les Terpsycordes prônent l’éclectisme. Leurs enregistrements, tous salués par la presse spécialisée, reflètent cette volonté de toucher l’essence du texte, à chaque projet, dans une démarche alliant rigueur et fantaisie : Schubert, Beethoven et Haydn révélés par les instruments d’époque (Ricercar et Ambronay Editions), les quatuors de Schumann (Claves) et le quintette avec piano de Vierne (Brilliant Classics) ; sans oublier leur engagement pour la musique moderne et contemporaine suisse (Gerber et Bloch, chez VDE Gallo, et Zanon, chez Claves) et des incursions dans l’univers du tango (Piazzolla et Piaf, avec William Sabatier, chez Fuga Libera) et celui du jazz (avec Maël Godinat Trionyx).
Fondé en 1997, basé à Genève, le Quatuor Terpsycordes a suivi l’enseignement de Gábor Takács-Nagy, avant de se perfectionner auprès de membres des quatuors Budapest, Hagen, Lasalle ou Mosaïques, entre autres. Galvanisés par le contraste des origines (Italie, Bulgarie, France et Suisse), ses membres éblouissent régulièrement le public des grandes salles de ce monde, comme le Concertgebouw d’Amsterdam, la Salle Gaveau de Paris, la Tonhalle de Zurich ou le Victoria Hall de Genève.
Pour cette saison 2020, le Quatuor Terpsycordes se produit notamment en Suisse, en France et en Italie. Il enregistre un nouveau CD en sextuor consacré à Piazzolla.
Il prépare un enregistrement d’un répertoire français du XIXe au XXe siècle sur instruments montés d’époque. Et rend un bel hommage à Beethoven pour les 250 ans de sa naissance au travers de plusieurs programmes dont la création ce Post-Sriptum 1826, magnifique pièce de théâtre musical.
Engagé auprès du jeune public, le Quatuor Terpsycordes participe chaque année à des programmes pédagogiques et parraine le projet « Orchestre en classe » depuis 2015.
Avec le soutien de la Ville de Genève, de la République et canton de Genève.
www.terpsycordes.com
Dejan Nikolic, comédien
Dejan Nikolic est passionné par la communication. Que ce soit sur la scène d’un théâtre, dans la vie politique ou dans les médias, ce jeune homme investit les mots à bras le corps. Il est aujourd’hui responsable de la communication sein de l'administration publique cantonale de Genève. De 2006 à 2018, il exerce le métier de journaliste, collaborant avec plusieurs médias télévisuels, comme Léman Bleu, la RSI et la RTS.
Parallèlement, il monte et joue dans plusieurs pièces de théâtre :
2006: Festival de théâtre amateur de Saint-Louis. Une création à partir de saynètes du théâtre contemporain ("Pas de Deux", "Les Uns, les Autres"), mis en scène par Christine Anzules Aebi.
2008: "L'art en Tranches", La Troupe Ment. Une adaptation de "Musée haut, musée bas", de Jean-Michel Ribes, mise en scène par Christine Aebi.
2008: Festival International de Théâtre, à Marrakech (Maroc).
2009: "Les Oies Sauvages", La Troupe Ment. Une co-création mise en scène par Christine Aebi.
2009: "100 dessus dessous", Théâtre En Cavale. Texte de Miguel Fernandez-V., mis en scène pour les 100 ans du Théâtre Pitoëff à Genève par Amandine Sommer.
2010: "Old Saybrook", de M. Woody Allen, par La Troupe Ment / mise en scène de Christine Aebi.
2013: "Deuil pour deuil", La Troupe Ment. Mélange de textes, inspiré de «Joyeuses funérailles» et de Jean Michel Ribes, Pierre Desproges, Jean Gabriel Nordmann, Yasmina Reza, Jean Anouilh, Sergi Belbel, Jean-Pierre Siméon, Israël Horovitz, Hubert Colas, Michel Azama, Laurent Wetter, Denise Bonal. Mise en scène Christine Aebi.
2014: "Les Reflets Mouillés", La Troupe Ment. Création de Miguel Fernandez-V., mise en scène par Christine Aebi.
2017: "Le Repas des Fauves", de Vahe Katcha, par la troupe Chonifroy, mis en scène par Miguel Fernandez-V.
Parallèlement, il monte et joue dans plusieurs pièces de théâtre :
2006: Festival de théâtre amateur de Saint-Louis. Une création à partir de saynètes du théâtre contemporain ("Pas de Deux", "Les Uns, les Autres"), mis en scène par Christine Anzules Aebi.
2008: "L'art en Tranches", La Troupe Ment. Une adaptation de "Musée haut, musée bas", de Jean-Michel Ribes, mise en scène par Christine Aebi.
2008: Festival International de Théâtre, à Marrakech (Maroc).
2009: "Les Oies Sauvages", La Troupe Ment. Une co-création mise en scène par Christine Aebi.
2009: "100 dessus dessous", Théâtre En Cavale. Texte de Miguel Fernandez-V., mis en scène pour les 100 ans du Théâtre Pitoëff à Genève par Amandine Sommer.
2010: "Old Saybrook", de M. Woody Allen, par La Troupe Ment / mise en scène de Christine Aebi.
2013: "Deuil pour deuil", La Troupe Ment. Mélange de textes, inspiré de «Joyeuses funérailles» et de Jean Michel Ribes, Pierre Desproges, Jean Gabriel Nordmann, Yasmina Reza, Jean Anouilh, Sergi Belbel, Jean-Pierre Siméon, Israël Horovitz, Hubert Colas, Michel Azama, Laurent Wetter, Denise Bonal. Mise en scène Christine Aebi.
2014: "Les Reflets Mouillés", La Troupe Ment. Création de Miguel Fernandez-V., mise en scène par Christine Aebi.
2017: "Le Repas des Fauves", de Vahe Katcha, par la troupe Chonifroy, mis en scène par Miguel Fernandez-V.
Informations pratiques
Horaire :
Lundi 9 mars, 20h
Dimanche 15 mars, 17h
Mardi 17 mars, 20h
Lieu :
Théâtre Les Salons
Rue J.-F. Bartholoni 6
1204 Genève
Billetterie :
1) Online : www.terpsycordes.com
2) Sur place : vente de billets les jours de représentation, 1 heure avant le début des représentations
Tarifs :
Parterre, 48 CHF
Moins de 26 ans, 20 CHF
Lundi 9 mars, 20h
Dimanche 15 mars, 17h
Mardi 17 mars, 20h
Lieu :
Théâtre Les Salons
Rue J.-F. Bartholoni 6
1204 Genève
Billetterie :
1) Online : www.terpsycordes.com
2) Sur place : vente de billets les jours de représentation, 1 heure avant le début des représentations
Tarifs :
Parterre, 48 CHF
Moins de 26 ans, 20 CHF