La sorcière, par Luis Ricardo Falero - 1882
Le Muséum de Toulouse s’est associé au musée des Confluences de Lyon pour proposer une exposition unique en son genre autour des magies. Mêlant collections historiques des deux musées et dispositifs magiques, l’exposition Magies Sorcelleries explore l’universalité et l’intemporalité des magies ainsi que la lisière entre savoirs scientifiques et savoirs occultes.
Les acteurs de la magie, de la figure du magicien à celle de la sorcière, ont façonné nos imaginaires mais révèlent des questions sociétales bien réelles, que ce soit une quête d’un réenchantement du monde, le souhait d’un retour à la nature et aux spiritualités ancestrales ou même des revendications féministes et progressistes.
Ce sont tous ces aspects et bien d’autres encore qu’explore l’exposition Magies-Sorcelleries. A travers une scénographie théâtralisée et immersive, totalement enchanteresse, l’exposition embrasse les magies et les sorcelleries à travers le temps et l’espace et interroge notre rapport à l’autre et au monde, nos représentations actuelles et nos attentes.
« Magies-Sorcelleries sera non seulement l’occasion de questionner les rapports étroits que la magie entretient avec les sciences, notamment naturelles, mais aussi de s’interroger sur notre propre disposition à nous laisser illusionner. » Francis Duranthon, directeur du Muséum de Toulouse
Les acteurs de la magie, de la figure du magicien à celle de la sorcière, ont façonné nos imaginaires mais révèlent des questions sociétales bien réelles, que ce soit une quête d’un réenchantement du monde, le souhait d’un retour à la nature et aux spiritualités ancestrales ou même des revendications féministes et progressistes.
Ce sont tous ces aspects et bien d’autres encore qu’explore l’exposition Magies-Sorcelleries. A travers une scénographie théâtralisée et immersive, totalement enchanteresse, l’exposition embrasse les magies et les sorcelleries à travers le temps et l’espace et interroge notre rapport à l’autre et au monde, nos représentations actuelles et nos attentes.
« Magies-Sorcelleries sera non seulement l’occasion de questionner les rapports étroits que la magie entretient avec les sciences, notamment naturelles, mais aussi de s’interroger sur notre propre disposition à nous laisser illusionner. » Francis Duranthon, directeur du Muséum de Toulouse
L’exposition Magies-Sorcelleries se présente comme une pièce en deux actes
L’acte 1 se déroule à Toulouse, de décembre 2020 à octobre 2021. L’acte 2 se déploiera à Lyon, d’avril 2022 à février 2023.
Les spécificités de l’acte 1, la version toulousaine, en six tableaux.
Des magies savantes
Du surnaturel au Muséum d’histoire naturelle de Toulouse ?
L’exposition toulousaine nous conduit à éprouver cette frontière entre savoirs scientifiques et savoirs occultes, une frontière pas si étanche qu’il n’y paraît de prime abord. Le parcours de l’exposition convoque plusieurs disciplines et met en scène toutes les ambivalences entre rationnel et irrationnel, entre le croire et le savoir. Les magies savantes sont donc à l’honneur dans la version toulousaine de l’exposition.
Des magies contemporaines
À Toulouse, la magie se veut résolument contemporaine.
Elle prend appui sur des personnalités toulousaines emblématiques.
Ainsi, c’est Rémi Lavesne, l’un des talents de l’école du cirque de Toulouse, primé au Festival mondial du cirque de demain, qui accompagne la conception du design de l’exposition.
Des magies toulousaines
L’exposition Magies, acte1, vient s’ancrer dans la continuité d’une longue tradition magique toulousaine. On y découvre par exemple la lanterne magique d’Eugène Trutat, ancien conservateur et directeur du Muséum de Toulouse qui, pour donner ses cours, détournait cet objet de magie pour le transformer en objet de pédagogie scientifique.
Des magies naturelles
Le visiteur pénètre la forêt, aperçoit les cycles de la lune, parcourt des collections végétales et minérales, reconnaît le cercle des ressources naturelles qui réunit l’eau, l’air, la terre et le feu. Et puis, bien sûr, il approche le bestiaire sorcier : jaguar, loup, renard, corbeau, lièvre… tous ces animaux qui incarnent la magie.
Des magies immersives
La scénographie exploite des jeux optiques, détourne le réel et invite à voir l’invisible. Elle s’approprie des géométries abstraites, des effets d’illusion, des vibrations, des incertitudes spatiales. Le parcours requiert toute l’attention du visiteur et perturbe ses sens.
Des magies féminines (nistes?)
Une partie de l’exposition toulousaine est consacrée à la figure contemporaine de la sorcière, en lien avec l’éco-féminisme et le néochamanisme. Le visiteur peut, s’il le souhaite, réaliser une visite numérique accompagné par une sorcière contemporaine, Marie Lisel, maîtresse praticienne en hypnose éricksonienne, mais aussi « Sorqueer » (sorcière queer éco-féministe).
Elle propose un parcours ponctué de haltes hypnotiques devant certains objets représentatifs de l’exposition.
Les spécificités de l’acte 1, la version toulousaine, en six tableaux.
Des magies savantes
Du surnaturel au Muséum d’histoire naturelle de Toulouse ?
L’exposition toulousaine nous conduit à éprouver cette frontière entre savoirs scientifiques et savoirs occultes, une frontière pas si étanche qu’il n’y paraît de prime abord. Le parcours de l’exposition convoque plusieurs disciplines et met en scène toutes les ambivalences entre rationnel et irrationnel, entre le croire et le savoir. Les magies savantes sont donc à l’honneur dans la version toulousaine de l’exposition.
Des magies contemporaines
À Toulouse, la magie se veut résolument contemporaine.
Elle prend appui sur des personnalités toulousaines emblématiques.
Ainsi, c’est Rémi Lavesne, l’un des talents de l’école du cirque de Toulouse, primé au Festival mondial du cirque de demain, qui accompagne la conception du design de l’exposition.
Des magies toulousaines
L’exposition Magies, acte1, vient s’ancrer dans la continuité d’une longue tradition magique toulousaine. On y découvre par exemple la lanterne magique d’Eugène Trutat, ancien conservateur et directeur du Muséum de Toulouse qui, pour donner ses cours, détournait cet objet de magie pour le transformer en objet de pédagogie scientifique.
Des magies naturelles
Le visiteur pénètre la forêt, aperçoit les cycles de la lune, parcourt des collections végétales et minérales, reconnaît le cercle des ressources naturelles qui réunit l’eau, l’air, la terre et le feu. Et puis, bien sûr, il approche le bestiaire sorcier : jaguar, loup, renard, corbeau, lièvre… tous ces animaux qui incarnent la magie.
Des magies immersives
La scénographie exploite des jeux optiques, détourne le réel et invite à voir l’invisible. Elle s’approprie des géométries abstraites, des effets d’illusion, des vibrations, des incertitudes spatiales. Le parcours requiert toute l’attention du visiteur et perturbe ses sens.
Des magies féminines (nistes?)
Une partie de l’exposition toulousaine est consacrée à la figure contemporaine de la sorcière, en lien avec l’éco-féminisme et le néochamanisme. Le visiteur peut, s’il le souhaite, réaliser une visite numérique accompagné par une sorcière contemporaine, Marie Lisel, maîtresse praticienne en hypnose éricksonienne, mais aussi « Sorqueer » (sorcière queer éco-féministe).
Elle propose un parcours ponctué de haltes hypnotiques devant certains objets représentatifs de l’exposition.
Info+
Exposition temporaire seule : 7€
Tarif réduit : 5€ - Gratuit pour les moins de 6 ans
Exposition permanente + exposition temporaire : 9€
Tarif réduit : 7€ - Gratuit pour les moins de 6 ans
Accès
35 allées Jules-Guesde - 31000 Toulouse
Métro B, station Carmes ou Palais de justice
Tram T1 T2, terminus Palais de justice
Bus n°29, 31, 44 et L7
Tarif réduit : 5€ - Gratuit pour les moins de 6 ans
Exposition permanente + exposition temporaire : 9€
Tarif réduit : 7€ - Gratuit pour les moins de 6 ans
Accès
35 allées Jules-Guesde - 31000 Toulouse
Métro B, station Carmes ou Palais de justice
Tram T1 T2, terminus Palais de justice
Bus n°29, 31, 44 et L7