Le Rockgarden de Nek Chand
L’Art Brut
En 1945, Jean Dubuffet établit l'expression "Art Brut" pour désigner des productions dont les auteurs, sont des autodidactes. Ils créent hors de toutes règles ou de toutes considérations artistiques. Il est à l’origine du musée « La Collection de l’Art brut » à Lausanne, qui compte plus de 60 000 œuvres.
A découvrir au Palais idéal
L'exposition présente, sous forme de panneaux, une quarantaine d'auteurs d'Art Brut, peintres, sculpteurs, bricoleurs ingénieux, qui partout dans le monde, créent sans se soucier du regard d'autrui, avec de simples matériaux de récupération. Les œuvres résonnent souvent avec des parcours de vie singuliers… Telle Aloïse, couturière, qui vit une passion amoureuse imaginaire avec l’empereur Guillaume II et crée un univers peuplé de princes, princesses, couples amoureux ; Le prisonnier de Bâle qui, dans sa cellule, crée des figurines avec de la mie de pain ; Emile Ratier, marchand de bois coupé, qui perdant la vue, se met à fabriquer des sculptures mobiles animées…
Les Environnements d’Art Brut
Si une partie de l’exposition est consacrée aux artistes repérés par Jean Dubuffet, la seconde est dédiée aux Environnements d’Art Brut. Il s’agit de sites tels que le Palais idéal du Facteur Cheval, la célèbre maison Picassiette, les tours de Watts à Los Angeles ou encore le Parc de Nek Chand en Inde…
C’est l’exposition « Des inspirés aux habitants paysagistes » présentée au Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris en 1978 qui a permis à ces environnements d’être reconnus comme des oeuvres d’Art Brut. Bon nombre de ces sites extraordinaires ne bénéficient pas d’un classement et sont menacés.
L’exposition, présentée sur les murs d’enceinte du Palais idéal, offre un aperçu de créations géniales guidées par l’imagination et l’obstination de leurs auteurs. Elle est l’occasion de mieux comprendre le monde de l’Art Brut, et peut-être aussi la démarche de Ferdinand Cheval. Elle a été réalisée en collaboration avec la Collection de l’Art Brut à Lausanne et Laurent Danchin, critique d’art et spécialiste des Environnements d’Art Brut.
En 1945, Jean Dubuffet établit l'expression "Art Brut" pour désigner des productions dont les auteurs, sont des autodidactes. Ils créent hors de toutes règles ou de toutes considérations artistiques. Il est à l’origine du musée « La Collection de l’Art brut » à Lausanne, qui compte plus de 60 000 œuvres.
A découvrir au Palais idéal
L'exposition présente, sous forme de panneaux, une quarantaine d'auteurs d'Art Brut, peintres, sculpteurs, bricoleurs ingénieux, qui partout dans le monde, créent sans se soucier du regard d'autrui, avec de simples matériaux de récupération. Les œuvres résonnent souvent avec des parcours de vie singuliers… Telle Aloïse, couturière, qui vit une passion amoureuse imaginaire avec l’empereur Guillaume II et crée un univers peuplé de princes, princesses, couples amoureux ; Le prisonnier de Bâle qui, dans sa cellule, crée des figurines avec de la mie de pain ; Emile Ratier, marchand de bois coupé, qui perdant la vue, se met à fabriquer des sculptures mobiles animées…
Les Environnements d’Art Brut
Si une partie de l’exposition est consacrée aux artistes repérés par Jean Dubuffet, la seconde est dédiée aux Environnements d’Art Brut. Il s’agit de sites tels que le Palais idéal du Facteur Cheval, la célèbre maison Picassiette, les tours de Watts à Los Angeles ou encore le Parc de Nek Chand en Inde…
C’est l’exposition « Des inspirés aux habitants paysagistes » présentée au Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris en 1978 qui a permis à ces environnements d’être reconnus comme des oeuvres d’Art Brut. Bon nombre de ces sites extraordinaires ne bénéficient pas d’un classement et sont menacés.
L’exposition, présentée sur les murs d’enceinte du Palais idéal, offre un aperçu de créations géniales guidées par l’imagination et l’obstination de leurs auteurs. Elle est l’occasion de mieux comprendre le monde de l’Art Brut, et peut-être aussi la démarche de Ferdinand Cheval. Elle a été réalisée en collaboration avec la Collection de l’Art Brut à Lausanne et Laurent Danchin, critique d’art et spécialiste des Environnements d’Art Brut.