Hervé di Rosa élu à l’Académie des beaux-arts
Élève de l’École nationale Supérieure des Arts décoratifs (mais non diplômé!), Hervé Di Rosa commence à vendre ses peintures dès 1979.
À tout juste vingt ans, il est exposé à Paris, Amsterdam et New York. En 1981, Hervé Di Rosa cofonde le mouvement de la Figuration libre, ainsi dénommé par l’artiste Ben.
Progressivement, il diversifie ses approches artistiques au contact d’artisans dans un tour du monde qui le mènera en Tunisie, en Bulgarie, au Ghana, au Bénin, en Ethiopie, au Vietnam, en Afrique du Sud, en Corse, à Cuba, au Mexique, aux Etats-Unis, au Cameroun, en Israël. Sans revendiquer un style particulier, mais en développant un univers narratif bien à lui, peuplé de personnages récurrents, il a pratiqué toutes les techniques de création: peinture, sculpture, bande-dessinée, tapisserie, estampe, fresque, laque, argent repoussé, céramique, dessin animé, images numériques, entre autres. Il est également l’auteur ou le sujet de plus de 150 livres d’art et publications entre 1978 et 2019.
Concepteur de l’Art modeste, il fonde en l’an 2000, à Sète, le Musée international des arts modestes (MIAM), où il expose de nombreux artistes venus du monde entier et crée des expositions qui questionnent les frontières de l’art contemporain.
Depuis 1981, son œuvre a fait l’objet de plus de 200 expositions personnelles et est présente dans d’importantes collections publiques et privées en Europe, en Amérique et en Asie. Il vit et travaille actuellement à Lisbonne, Portugal.
Il est élu en vovembre 2022 membre de l'académie des beaux-arts, au fauteuil IV de la section de Peinture
À tout juste vingt ans, il est exposé à Paris, Amsterdam et New York. En 1981, Hervé Di Rosa cofonde le mouvement de la Figuration libre, ainsi dénommé par l’artiste Ben.
Progressivement, il diversifie ses approches artistiques au contact d’artisans dans un tour du monde qui le mènera en Tunisie, en Bulgarie, au Ghana, au Bénin, en Ethiopie, au Vietnam, en Afrique du Sud, en Corse, à Cuba, au Mexique, aux Etats-Unis, au Cameroun, en Israël. Sans revendiquer un style particulier, mais en développant un univers narratif bien à lui, peuplé de personnages récurrents, il a pratiqué toutes les techniques de création: peinture, sculpture, bande-dessinée, tapisserie, estampe, fresque, laque, argent repoussé, céramique, dessin animé, images numériques, entre autres. Il est également l’auteur ou le sujet de plus de 150 livres d’art et publications entre 1978 et 2019.
Concepteur de l’Art modeste, il fonde en l’an 2000, à Sète, le Musée international des arts modestes (MIAM), où il expose de nombreux artistes venus du monde entier et crée des expositions qui questionnent les frontières de l’art contemporain.
Depuis 1981, son œuvre a fait l’objet de plus de 200 expositions personnelles et est présente dans d’importantes collections publiques et privées en Europe, en Amérique et en Asie. Il vit et travaille actuellement à Lisbonne, Portugal.
Il est élu en vovembre 2022 membre de l'académie des beaux-arts, au fauteuil IV de la section de Peinture
Baptisé ALL-OVER, ce nouveau format a été inauguré à l’été 2019 avec l’invitation du duo suisse Gerda Steiner & Jörg Lenzlinger, et prolongé en 2020 avec l’artiste Philippe Favier et le commissaire Thierry Raspail.
Pour cette troisième édition, le musée de Valence fait appel à Hervé Di Rosa, artiste français et figure internationale de l’art contemporain. Son univers coloré et exubérant, le dialogue ouvert avec les traditions et techniques artistiques d’autres pays et la réflexion qui en découle sur la définition de l’art promettent de réjouissantes et insolentes relectures de l’histoire des arts et une métamorphose du musée en une caverne merveilleuse.
Le commissariat associé de cette exposition est confié à l’historien de l’art Philippe Bouchet.
Parce que le rapprochement des œuvres d’Hervé Di Rosa avec celles du passé ne saute pas immédiatement aux yeux tant ses créations sont actuelles - bien que les créatures étranges qui peuplent parfois sa peinture aient à voir avec l’univers turbulent de Jérôme Bosch - le propos de cette exposition s’impose aujourd’hui. Par la démarche qui est la sienne, celle d’un artiste libre qui nous invite depuis longtemps à un déplacement du regard, de notre regard, Hervé Di Rosa ouvre le domaine respectable de l’histoire de l’art à d’autres horizons et déroule un fil d’Ariane pour nous aider à ne pas nous égarer dans la production des images. Pour lui, « ouvrir l’art, ce n’est pas seulement créer des formes nouvelles, mais c’est aussi revoir sans cesse les créations passées et présentes dans une perpétuelle liberté de regard »1. Puisse cette exposition en faire entendre à tous le message.
1 Yves Le Fur, « Bourse aux signes », catalogue de l’exposition Hervé Di Rosa Foumban (2002-2015) Autour du monde. 11e étape, Paris, Louis Carré & Cie, 2015, p. 12.
Pour cette troisième édition, le musée de Valence fait appel à Hervé Di Rosa, artiste français et figure internationale de l’art contemporain. Son univers coloré et exubérant, le dialogue ouvert avec les traditions et techniques artistiques d’autres pays et la réflexion qui en découle sur la définition de l’art promettent de réjouissantes et insolentes relectures de l’histoire des arts et une métamorphose du musée en une caverne merveilleuse.
Le commissariat associé de cette exposition est confié à l’historien de l’art Philippe Bouchet.
Parce que le rapprochement des œuvres d’Hervé Di Rosa avec celles du passé ne saute pas immédiatement aux yeux tant ses créations sont actuelles - bien que les créatures étranges qui peuplent parfois sa peinture aient à voir avec l’univers turbulent de Jérôme Bosch - le propos de cette exposition s’impose aujourd’hui. Par la démarche qui est la sienne, celle d’un artiste libre qui nous invite depuis longtemps à un déplacement du regard, de notre regard, Hervé Di Rosa ouvre le domaine respectable de l’histoire de l’art à d’autres horizons et déroule un fil d’Ariane pour nous aider à ne pas nous égarer dans la production des images. Pour lui, « ouvrir l’art, ce n’est pas seulement créer des formes nouvelles, mais c’est aussi revoir sans cesse les créations passées et présentes dans une perpétuelle liberté de regard »1. Puisse cette exposition en faire entendre à tous le message.
1 Yves Le Fur, « Bourse aux signes », catalogue de l’exposition Hervé Di Rosa Foumban (2002-2015) Autour du monde. 11e étape, Paris, Louis Carré & Cie, 2015, p. 12.
Info+
Ouvert : mer. > dim. / 10h-12h - 14h-18h
Tarif plein : 6 € / Tarif réduit : 4 €
Musée de Valence, art et archéologie
4 place des Ormeaux
26000 Valence
04 75 79 20 80
Tarif plein : 6 € / Tarif réduit : 4 €
Musée de Valence, art et archéologie
4 place des Ormeaux
26000 Valence
04 75 79 20 80