L’atelier de Philippe Favier, 2020 © Musée de Valence, Emmanuel Georges © Adagp, Paris, 2020
Renouveler le genre de l’exposition temporaire en confiant les clefs du musée à un artiste, c’est le défi du projet ALL-OVER expérimenté l’été dernier avec les artistes suisses Gerda Steiner & Jörg Lenzlinger.
Pour cette deuxième édition, la directrice du Musée de Valence invite l’artiste plasticien Philippe Favier, sur une proposition de Thierry Raspail, historien de l’art et commissaire de l’exposition.
Infatigable expérimentateur, Philippe Favier explore des techniques et des voies sans cesse renouvelées : à ses dessins au stylo-bille des années 1980 succèdent des peintures sur verre, de savants collages, des métamorphoses d’objets divers qu’il collecte
insatiablement (cartes de géographie, manuscrits médiévaux, photographies de famille ou de classe, etc.), jusqu’aux récentes Boîtes où s’inventent des micro-mondes étranges et merveilleux autant que minutieux.
L’itinéraire auquel convient les oeuvres de Philippe Favier, cheminant entre histoire naturelle, archéologie, beaux arts et paysages, est une vaste anthologie aux accents de modeste cosmogonie : tous les aspects de son oeuvre y sont exposés, des premières batailles aux plus récents dessins, gravures et Boîtes, des verres aux photographies et collages, avec les Albatros, les Amazones au carré, les Aquarelles de guerre, les Damiers, les Roubo et les Roses, les Ombres au tableau, l’Histoire, la mémoire, l’oubli... ainsi qu’un grand nombre d’œuvres inédites créées ces dix dernières années.
Il s’agit d’un dialogue entretenu entre une histoire de l’art à ambition universaliste engagée dès la création du musée en 1850, et le regard singulier d’un artiste d’aujourd’hui pour qui les confins, les territoires et les lieux sont la mesure du Monde.
L’idée, c’est qu’il n’y ait plus ni collection permanente ni exposition temporaire séparées, mais une seule trajectoire dans un temps
d’aujourd’hui. Sensible à l’esprit du lieu, auteur d’une « encyclopédie buissonnière », Philippe Favier revisite la collection du musée
avec esprit et humour, dévoilant ses toutes dernières créations.
Il associe ses oeuvres à tous les espaces et fait de ce turbulent dialogue un parcours hors normes de plusieurs centaines d’œuvres
représentatives de 40 ans de carrière.
Pour cette deuxième édition, la directrice du Musée de Valence invite l’artiste plasticien Philippe Favier, sur une proposition de Thierry Raspail, historien de l’art et commissaire de l’exposition.
Infatigable expérimentateur, Philippe Favier explore des techniques et des voies sans cesse renouvelées : à ses dessins au stylo-bille des années 1980 succèdent des peintures sur verre, de savants collages, des métamorphoses d’objets divers qu’il collecte
insatiablement (cartes de géographie, manuscrits médiévaux, photographies de famille ou de classe, etc.), jusqu’aux récentes Boîtes où s’inventent des micro-mondes étranges et merveilleux autant que minutieux.
L’itinéraire auquel convient les oeuvres de Philippe Favier, cheminant entre histoire naturelle, archéologie, beaux arts et paysages, est une vaste anthologie aux accents de modeste cosmogonie : tous les aspects de son oeuvre y sont exposés, des premières batailles aux plus récents dessins, gravures et Boîtes, des verres aux photographies et collages, avec les Albatros, les Amazones au carré, les Aquarelles de guerre, les Damiers, les Roubo et les Roses, les Ombres au tableau, l’Histoire, la mémoire, l’oubli... ainsi qu’un grand nombre d’œuvres inédites créées ces dix dernières années.
Il s’agit d’un dialogue entretenu entre une histoire de l’art à ambition universaliste engagée dès la création du musée en 1850, et le regard singulier d’un artiste d’aujourd’hui pour qui les confins, les territoires et les lieux sont la mesure du Monde.
L’idée, c’est qu’il n’y ait plus ni collection permanente ni exposition temporaire séparées, mais une seule trajectoire dans un temps
d’aujourd’hui. Sensible à l’esprit du lieu, auteur d’une « encyclopédie buissonnière », Philippe Favier revisite la collection du musée
avec esprit et humour, dévoilant ses toutes dernières créations.
Il associe ses oeuvres à tous les espaces et fait de ce turbulent dialogue un parcours hors normes de plusieurs centaines d’œuvres
représentatives de 40 ans de carrière.
Portrait de Philippe Favier dans son atelier, 2020 © Musée de Valence, photographie Emmanuel Georges
Philippe Favier, Hamburger Hill, 1980, stylo-bille sur papier © François Caterin © Adagp, Paris, 2020
Philippe Favier, Les Signorelliennes, 1983-1984, acrylique sur carton plume © François Caterin © Adagp, Paris, 2020