L'art en été. L'œuvre "One Soul" de Renata Tumarova. © Renata Tumarova/Galerie Rother
Deux cent quinze galeries renommées, originaires de douze pays différents, exposeront dans les quatre grands halls baignés de lumière du Parc des expositions de Karlsruhe. Alors que le salon était jusqu’à présent toujours organisé en février, il a été reporté cette année au mois de juillet du fait de la crise sanitaire. Ce qui permettra aux visiteurs d’apprécier à la belle saison des œuvres couvrant tous les courants artistiques des cent-vingt dernières années, ainsi que d’autres tout juste sorties des ateliers.
L’art sous un nouvel éclairage
L’édition 2022 du salon ayant ainsi lieu en été, elle permettra d’apprécier littéralement les oeuvres sous un nouvel éclairage. Britta Wirtz, gérante de la société Messe Karlsruhe, déclare à ce sujet : « J’attends avec impatience la version estivale d’art KARLSRUHE. Les oeuvres exposées bénéficieront de la chaude lumière provenant des bandes vitrées du plafond des halls d’exposition, tandis que les visiteurs pourront apprécier les plantes de l’atrium et rester plus longtemps dans les espaces extérieurs du salon. Nous allons tirer le meilleur parti de ce report en été afin de faire du salon un événement exceptionnel qui attirera de nombreux visiteurs à Karlsruhe, ville bénéficiant du label City of Media Arts décerné par l’UNESCO. »
Le Jardin des sculptures sponsorisé par le groupe Vollack devrait faire l’objet d’une attention particulière de la part des visiteurs : cet espace vert d’environ 6800 mètres carrés répartis entre les quatre halls d’exposition rassemblera en effet, dans une atmosphère estivale, des œuvres en trois dimensions et des stands de restauration.
Quant aux horaires du salon, ils ont été modifiés afin de permettre aux amateurs d’art d’apprécier les œuvres jusqu’en début de soirée en bénéficiant de l’éclairage naturel. L’édition 2022 d’art KARLSRUHE sera ainsi ouverte de 11 à 20 heures du vendredi 8 au dimanche 10 juillet. Le vernissage du jeudi 7 juillet, accessible avec un billet spécial, durera également jusqu’à 20 heures.
Le Jardin des sculptures sponsorisé par le groupe Vollack devrait faire l’objet d’une attention particulière de la part des visiteurs : cet espace vert d’environ 6800 mètres carrés répartis entre les quatre halls d’exposition rassemblera en effet, dans une atmosphère estivale, des œuvres en trois dimensions et des stands de restauration.
Quant aux horaires du salon, ils ont été modifiés afin de permettre aux amateurs d’art d’apprécier les œuvres jusqu’en début de soirée en bénéficiant de l’éclairage naturel. L’édition 2022 d’art KARLSRUHE sera ainsi ouverte de 11 à 20 heures du vendredi 8 au dimanche 10 juillet. Le vernissage du jeudi 7 juillet, accessible avec un billet spécial, durera également jusqu’à 20 heures.
Retour aux contacts personnels
Le report du salon du mois de février au mois de juillet, justifié par la pandémie de Covid, sera par ailleurs l’occasion, pour les acteurs du marché de l’art, d’enfin renouer avec les contacts personnels. L’édition 2020 d’art KARLSRUHE ayant été la dernière à ne pas être impactée par les restrictions sanitaires, le report de la date devrait permettre à tout un chacun d’apprécier de nouveau l’art en toute sérénité.
Ewald Karl Schrade, commissaire artistique du salon, déclare pour sa part : « Notre joie à l’idée de participer au salon en juillet augmente avec la température extérieure. Nous nous réjouissons déjà de ces grandes retrouvailles du marché de l’art. » Les exposants, dont les contacts personnels avec le public ont sévèrement souffert du fait de la pandémie, partagent cette opinion et feront tout leur possible, avec les organisateurs du salon, pour que l’édition 2022 d’art KARLSRUHE rencontre un franc succès.
Ewald Karl Schrade, commissaire artistique du salon, déclare pour sa part : « Notre joie à l’idée de participer au salon en juillet augmente avec la température extérieure. Nous nous réjouissons déjà de ces grandes retrouvailles du marché de l’art. » Les exposants, dont les contacts personnels avec le public ont sévèrement souffert du fait de la pandémie, partagent cette opinion et feront tout leur possible, avec les organisateurs du salon, pour que l’édition 2022 d’art KARLSRUHE rencontre un franc succès.
Le marché de l’art durant, contre et après le Covid
En 2022 comme dans les années précédentes, la compagnie d’assurance Mannheimer Versicherungen, qui propose des produits adaptés aux intervenants du marché de l’art, sera présente sur un stand et organisera le forum ARTIMA art meeting dans le hall 3 récemment réaménagé.
Des discussions rassemblant six intervenants autour du thème « Le marché de l’art durant, contre et après le Covid » y auront lieu le jeudi 7 et le vendredi 8 juillet à 14 heures.
Parmi les acteurs du marché de l’art qui participeront à ces discussions, citons notamment Werner Tammen, président de l’Association des galeristes de Berlin, ainsi que Kasper König, commissaire d’expositions, qui parleront des contraintes auxquelles ils ont dû faire face à cause de la pandémie. Gabriele Lindinger, du service Art et Relations publiques des éditions Lindinger+Schmidt, responsable depuis toujours de l’organisation du forum, déclare quant à elle : « Il était évident que cette année, le forum ARTIMA art meeting devait se consacrer à la pandémie et à ses conséquences sur le marché de l’art. »
Des discussions rassemblant six intervenants autour du thème « Le marché de l’art durant, contre et après le Covid » y auront lieu le jeudi 7 et le vendredi 8 juillet à 14 heures.
Parmi les acteurs du marché de l’art qui participeront à ces discussions, citons notamment Werner Tammen, président de l’Association des galeristes de Berlin, ainsi que Kasper König, commissaire d’expositions, qui parleront des contraintes auxquelles ils ont dû faire face à cause de la pandémie. Gabriele Lindinger, du service Art et Relations publiques des éditions Lindinger+Schmidt, responsable depuis toujours de l’organisation du forum, déclare quant à elle : « Il était évident que cette année, le forum ARTIMA art meeting devait se consacrer à la pandémie et à ses conséquences sur le marché de l’art. »