Sam Szafran, Escalier, 2005 aquarelle sur soie Collection Fondation Pierre Gianadda © Michel Darbellay, Martigny
C’est une grande joie pour la la Fondation de retrouver après plus de dix ans les oeuvres de Sam Szafran, cet artiste qui décline la couleur avec constance et obsession dans l’alignement de ses bâtons de pastel, avec des gravures, peintures, pastels, aquarelles et fusains.
Le public avait pu apprécier ses « Ateliers » aux encombrements presque surréalistes, ses « Escaliers » qui se jouent de la perspective et vous entraînent dans un vertige, ses cascades de verdure avec la présence furtive d’une femme, bref, les thèmes récurrents de Sam Szafran vont revenir nous interpeller sur nos cimaises entraînant le visiteur dans ses errances, dans son univers chancelant et dans l’exubérance de ses « Philodendrons ». Szafran est aussi devenu éponyme d’un pavillon qui jouxte la Fondation avec une salle de projection pour les conférences concernant les expositions en cours. Sur les deux façades extérieures de cette bâtisse, Szafran a signé deux céramiques monumentales, où l’on retrouve ses archétypes : l’escalier avec son appel du vide, et la ligne serpentine qui exprime le feuillage. Sam Szafran c’est aussi une grande amitié avec Annette et Léonard Gianadda à qui il a offert pour la Fondation un trésor de photographies signées Cartier-Bresson.
Le public avait pu apprécier ses « Ateliers » aux encombrements presque surréalistes, ses « Escaliers » qui se jouent de la perspective et vous entraînent dans un vertige, ses cascades de verdure avec la présence furtive d’une femme, bref, les thèmes récurrents de Sam Szafran vont revenir nous interpeller sur nos cimaises entraînant le visiteur dans ses errances, dans son univers chancelant et dans l’exubérance de ses « Philodendrons ». Szafran est aussi devenu éponyme d’un pavillon qui jouxte la Fondation avec une salle de projection pour les conférences concernant les expositions en cours. Sur les deux façades extérieures de cette bâtisse, Szafran a signé deux céramiques monumentales, où l’on retrouve ses archétypes : l’escalier avec son appel du vide, et la ligne serpentine qui exprime le feuillage. Sam Szafran c’est aussi une grande amitié avec Annette et Léonard Gianadda à qui il a offert pour la Fondation un trésor de photographies signées Cartier-Bresson.