Maud Maffei, Plasticienne
Maud Maffei est diplômée de la Villa Arson et du Master 2 de Philosophie de l’Université de Nanterre avec un mémoire sur les rapports entre texte et espace dans l’oeuvre de l’artiste Robert Barry. En parallèle de sa pratique plastique, elle mène un doctorat sur les rapports entre paysage et texte dans l’art américain des années 1960-1970.
Maud Maffei a travaillé comme assistante de l’artiste Larry Bell dans ses ateliers de Taos, Nouveau Mexique et Los Angeles puis de l’artiste Doug Wheeler à Paris sur plusieurs projets vidéo et sur la scénographie de l’exposition Upside Down Les Arctiques au Musée du Quai Branly. Maud Maffei en retient l’importance des phénomènes de la vision, mettant en jeu la persistance rétinienne et le rapport à l’espace.
Maud Maffei poursuit une pratique plastique en installation vidéo, dessin et sculpture. Le fond de sa pratique questionne notre rapport au temps : que faire du passé ? Comment le transformer ? Comment mettre à jour les anciennes métaphores avec lesquelles nous vivons ?
Ses travaux créent des oscillations entre mémoire physique sensible et mémoire historique. Ils pointent ces aller-retours incessants de la perception à la conceptualisation ; comment l’une vient modifier l’autre et vice-versa.
Ses productions récentes traitent de notre relation contemporaine au paysage, ce qu’on y projette par rapport à ce que l’on voit et ressent.
Maud Maffei a travaillé comme assistante de l’artiste Larry Bell dans ses ateliers de Taos, Nouveau Mexique et Los Angeles puis de l’artiste Doug Wheeler à Paris sur plusieurs projets vidéo et sur la scénographie de l’exposition Upside Down Les Arctiques au Musée du Quai Branly. Maud Maffei en retient l’importance des phénomènes de la vision, mettant en jeu la persistance rétinienne et le rapport à l’espace.
Maud Maffei poursuit une pratique plastique en installation vidéo, dessin et sculpture. Le fond de sa pratique questionne notre rapport au temps : que faire du passé ? Comment le transformer ? Comment mettre à jour les anciennes métaphores avec lesquelles nous vivons ?
Ses travaux créent des oscillations entre mémoire physique sensible et mémoire historique. Ils pointent ces aller-retours incessants de la perception à la conceptualisation ; comment l’une vient modifier l’autre et vice-versa.
Ses productions récentes traitent de notre relation contemporaine au paysage, ce qu’on y projette par rapport à ce que l’on voit et ressent.