Christine Maigne et Xiaojun Song nous révèlent dans cette exposition un ensemble d’œuvres où se déploient des éléments organiques subtils dans un univers de blancheur.
Chez Christine, ce sont de petites pousses sombres et élémentaires qui émergent en volume d’un milieu feutré et blanc. XiaoJun, quant à elle, peint de minutieux tracés fluides et ondulants inspirant la méditation.
Le point de départ est silencieux, les points et les lignes se déploient lentement sur la page blanche, semblant dépourvus de direction précise, mais porteurs d’un ordre intérieur implicite. Ils s’étendent vers l’extérieur avec une lenteur extrême, presque méditative, comme attirés par une force invisible, la force de l’âme. Ils sont à la fois abstraits et imprégnés d’un sentiment de vie indéniable. Au fil du temps, ces entités vivantes se rapprochent peu à peu. Elles s’entrelacent, se séparent, et dans ce silence, elles font apparaître la nouveauté, l'inattendu.
Une belle harmonie du vivant se dégage de cette exposition blanche et mouvante
Chez Christine, ce sont de petites pousses sombres et élémentaires qui émergent en volume d’un milieu feutré et blanc. XiaoJun, quant à elle, peint de minutieux tracés fluides et ondulants inspirant la méditation.
Le point de départ est silencieux, les points et les lignes se déploient lentement sur la page blanche, semblant dépourvus de direction précise, mais porteurs d’un ordre intérieur implicite. Ils s’étendent vers l’extérieur avec une lenteur extrême, presque méditative, comme attirés par une force invisible, la force de l’âme. Ils sont à la fois abstraits et imprégnés d’un sentiment de vie indéniable. Au fil du temps, ces entités vivantes se rapprochent peu à peu. Elles s’entrelacent, se séparent, et dans ce silence, elles font apparaître la nouveauté, l'inattendu.
Une belle harmonie du vivant se dégage de cette exposition blanche et mouvante